Pignotti. Nella cassa paterna Jo questi vetri il doppio venderd; (Unter den neuern Fabeldichtern macht Jean de la Sontaine, geboren 1621, gestorben 1695, dadurch Eroche, daß er die freiere Erzählungsmanier einführte, welche die & fopische Fabel nicht mit der ihr ursprünglich eigenen unges schmückten Stürze vortrågt, sondern sie durch mannichfaltige Annehmlichkeiten der Dichtkunft verschönert. Ihm gelang diese manier ungemein, und verschaffte feinen Fabeln, nicht nur bei seiner Nation, sondern auch bei Ausländern, klaffis schen Rang. Ihn ganz zu verstehen, und das Eigene reines launigen und naiven Tons všllig zu fassen, muß man die von Coste gegebenen Erklärungen der von ihm so oft ges brauchten alten, zum Theil veralteten, Wörter und Redenss arten, oder des sogenannten Stile Marorique, zu Rathe gio ben.) LE RENARD ET LA CICOGNE. Compere le Renard fe mit un jour en frais, Et retint à diner commere la Cicogne. Le Galant pour toute besogne ne. la fontai: La Cicogne au long bec n'en put attraper miette; Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de cette tromperie Je ne fais point cerémonie. De la Cicogne son hôtesse, "Trouva le diner cuit a point. On servit, pour l'embarasser, pris, Trompeurs, c'est pour vous que j'ecris; LA CIGALE ET LA FOURMI. La Cigale ayant chanté Tout l'été, Quand la bife fut venue De mouche ou de vermisseau Quel (houdart de la niotte, geboren 1672, gestorben 1731, ein fruchtbarer, und in verschiedenen Gattungen nicht uns glücklicher Dichter, dessen Fabeln jedoch weit weniger Beis fall erhielten und verdienten, als die Lafontänischen. Denn feine Schreibart entfernt fich allzusehr von der åføpischen Einfachheit, von der phadrischen Elegang, und von der ein: nehmenden, treuherzigen Gefälligkeit feines berühmten Vor: gångers unter den Franzosen. Kunst und absichtlicher Prunt * mit gelehrten Stenntniffen und Anspielungen schimmern dars in zu sehr hervor. Auch gelangen ihm seine eignen Erfin: dungen nur selten.) L'HOMME INSTRUIT DE SON DESTIN. Un homme avoit un jour obtenu du Destin, Au livre de la providence La 117otte. Il devoit être Roi, puislant et glorieux, Et puis captif, et puis mourir dans les tortures. De tous ces objets quelle idée La fouffre à toute heure, en tous lieux. Se voit dans son affreux chagrin, Grillé comme Guatimosin. b) S'écria-t-il. Ses voeux sont exaucés. Dans son esprit ce sont traits effacés. Le sceptre absolu qui l'attend: L'impatience la plus vive Lui fait un siécle d'un instant. Tout est infipide pour lui; Ce Roi fut séché d'ennui. Qui me separent de mon bien, Hors de-là je ne goûte rien. Je ferai mieux que tu ne veux. Je te rends à ton ignorance. Sans cela notre impatience Et le mal nous tueroit d'avance. tez Espagnol, qui conquit son royaume. b) Successeur de Montezume qu’on mit sur un brafier, pour lui faire avouer, où étoit son or. Le |