Revue universelle, bibliothèque de l'homme du monde et de l'homme politique au 19e siècle

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1832
 

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Página 152 - Yet, Freedom ! yet thy banner, torn, but flying, Streams like the thunder-storm against the wind; Thy trumpet voice, though broken now and dying, The loudest still the tempest leaves behind; Thy tree hath lost its blossoms, and the rind, Chopp'd by the axe, looks rough and little worth, But the sap lasts, — and still the seed we find Sown deep, even in the bosom of the North; So shall a better spring less bitter fruit bring forth.
Página 396 - Constitution, les factieux montrent ouvertement le projet de détruire le reste de la monarchie. Je viens de m'adresser à l'Empereur, à l'Impératrice de Russie, aux rois d'Espagne et de Suède, et je leur présente l'idée d'un congrès des principales puissances de l'Europe, appuyées d'une force armée, comme la meilleure mesure pour arrêter ici les factieux, donner le...
Página 396 - J'ai appris par M. de Moustier l'intérêt que » votre majesté avait témoigné, non seulement » pour ma personne, mais encore pour le bien » de mon royaume. Les dispositions de votre » majesté à m'en donner des témoignages dans » tous les cas où cet intérêt...
Página 151 - Or must such minds be nourished in the wild, Deep in the unpruned forest, midst the roar Of cataracts, where nursing Nature smiled On infant Washington? Has Earth no more Such seeds within her breast, or Europe no such shore ? XCVII.
Página 440 - Je te bénis, ma mère, et je touche le tien. Je ne m'éveillerai qu'à la lueur première De l'aube ; au rideau bleu c'est si gai de la voir ! Je vais dire tout bas ma plus tendre prière : Donne...
Página 396 - Heymann, et je goûte une véritable satisfaction de donner à Votre Majesté les assurances d'estime et d'affection avec lesquelles je suis, monsieur mon frère, de Votre Majesté, le bon frère.
Página 396 - J'espère que Votre Majesté approuvera mes idées, et qu'elle me gardera le secret le plus absolu sur la démarche que je fais auprès d'elle; elle sentira aisément que les circonstances où je me trouve m'obligent à la plus grande circonspection : c'est ce qui fait qu'il n'ya que le baron de Breteuil qui soit instruit de mon secret, et Votre Majesté peut lui faire passer ce qu'elle voudra. « Je saisis cette occasion de remercier Votre Majesté des bontés qu'elle a...
Página 293 - Et dans les lieux où le peuple civilisé ne meurt pas de faim pressante, il meurt de faim lente par les privations, de faim spéculative qui l'oblige à se nourrir de choses malsaines, de faim imminente en s'excédant de travail, en se livrant par besoin à des fonctions pernicieuses, à des fatigues outrées d'où naissent les fièvres, les infirmités : c'est toujours aller à la mort par la famine.
Página 440 - Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête, Plein de plume choisie, et blanc! et fait pour moi! Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête, Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi ! Beaucoup , beaucoup d'enfants pauvres et nus , sans mère , Sans maison , n'ont jamais d'oreiller pour dormir; Ils ont toujours sommeil . O destinée amère ! Maman ! douce maman ! cela me fait gémir.
Página 356 - ... des hommes ; de loin en loin on voit un cierge épineux dont les branches disposées en candélabres sont chargées de fruits mielleux, difficiles à cueillir , et quelques nopals abandonnés rappellent le souvenir d'un homme de bien , qui sacrifia sa fortune et sa vie pour naturaliser la cochenille dans les colonies françaises. Les essais de M. Thiery de Menonville n'ont point eu de résultats positifs ; il mourut à la peine. Il n'en a pas moins bien mérité de sou pays.

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