Histoire critique de la philosophie, Volumen1Jean Nourse, 1742 |
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... reste , je ne donne ici que l'Hiftoire des trois premiers Ages de la Philofophie . Si le Public daigne m'encourager par fon ap- probation , on n'attendra pas long - tems celle du quatrième , qui déja eft toute difpofée à recevoir le ...
... reste , je ne donne ici que l'Hiftoire des trois premiers Ages de la Philofophie . Si le Public daigne m'encourager par fon ap- probation , on n'attendra pas long - tems celle du quatrième , qui déja eft toute difpofée à recevoir le ...
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... reste encore à la Chine beaucoup de veftiges de cet ancien éclat de la Philofophie . On n'y reconnoît pour Nobles que les Gens - de - Lettres , & ceux qui abandonnent cette profeffion , re- tombent bien - tôt dans la roture & dans l ...
... reste encore à la Chine beaucoup de veftiges de cet ancien éclat de la Philofophie . On n'y reconnoît pour Nobles que les Gens - de - Lettres , & ceux qui abandonnent cette profeffion , re- tombent bien - tôt dans la roture & dans l ...
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... reste encore à parler des Cel- tes , dont la réputation doit plus nous intéreffer que celle d'aucun autre Peu- ple . Parmi cette Nation également gé- néreuse dans la guerre & dans la paix , quatre quatre fortes de perfonnes avoient un ...
... reste encore à parler des Cel- tes , dont la réputation doit plus nous intéreffer que celle d'aucun autre Peu- ple . Parmi cette Nation également gé- néreuse dans la guerre & dans la paix , quatre quatre fortes de perfonnes avoient un ...
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... reste de l'Univers comme orné de quelques globes lumineux & quel- ques fphéres cryftallines , destinées seu → lement pour le plaifir des yeux . S'ils avoient fçu que les Etoiles fixes font auffi des Soleils , & qu'il y a grande aparen ...
... reste de l'Univers comme orné de quelques globes lumineux & quel- ques fphéres cryftallines , destinées seu → lement pour le plaifir des yeux . S'ils avoient fçu que les Etoiles fixes font auffi des Soleils , & qu'il y a grande aparen ...
Página 117
... reste affez frappant de l'ancienne coutume ? Mais le lieu du monde où l'on révé- roit davantage le feu , étoit la Perfe . Il y avoit des enclos fermez de murailles & fans toît , où l'on en faifoit affidu- ment , & où le peuple foumis ...
... reste affez frappant de l'ancienne coutume ? Mais le lieu du monde où l'on révé- roit davantage le feu , étoit la Perfe . Il y avoit des enclos fermez de murailles & fans toît , où l'on en faifoit affidu- ment , & où le peuple foumis ...
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Términos y frases comunes
affez affure Aftres ainfi dire ames Anciens Apul auffi avoient avoit ayent Babylone befoin c'eft c'eſt caufe Chilon chofes Cléobule conféquent conferver confidérable connoiffances connoître croyoient De-là Déluge Dieu Dieux diftinguer Divinité dumoins efpece efprit Egyptiens enfuite enſemble eſt étoient étoit fageffe faifoient fans doute fçai fçait fçavant fe font fe trouve feconde fecours fecrets femble fens fent fept Sages feroit fervir feulement fiécles foient foin foit fource fous fouvent fubftance fuite fuivant fujet furtout fyftême Grecs Homere hommes infinité jufqu'à jufte Juifs l'ame l'Ecriture l'efprit l'Hiftoire Laërt laiffant lofophie Loix long-tems lumiere maniere ment Moïfe monde n'eft n'étoit naiffance néceffaire obfervations paffage paffer paffions paroît particuliere penfer penſées Perfes perfonnes Peuples Phéniciens Philofo Philofophie Phyfique Platon plufieurs plûtôt Poëtes pouvoient pouvoit préfente prefque premiere Pythagore raifon refpect refte Religion rien Scythes Sénéque Solon tems Terre Thalès tion toûjours tres
Pasajes populares
Página 206 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent: la première est la pure ignorance naturelle, où se trouvent tous les hommes en naissant. L'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes, qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien, et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis; mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Página 123 - PHILOSOPHU. i}u'on voyoit. De là vint le culte religieux qu'on rendit aux Aftres, & par cet enchaînement que les erreurs ont entr'elles, l'Aftrologie, Science vaine & ridicule, mais qui flatte les deux paffions favorites de l'homme, fa crédulité, en lui promettant qu'il percera dans l'avenir ; & fon orgueil, en lui infinuant que fa deftinée eft écrite dans le Ciel. Quoique les Chrétiens des premiers fiécles...
Página vii - ... c'eft en un mot de fuivre & de démêler ce prodigieux amas de vérités & d'erreurs , qui font parvenues jufqu'à nous, & qui jettent encore les plus éclairés dans une forte de Pyrrhonifme...
Página 229 - Ju- tur. 1. i. piter l'a ainfi ordonné: tout au contraire, ce qui arrive eft une dépendance certaine & liée de ce qui eft arrivé auparavant. Il ya un ordre inviolable duquel tous les événemens ne peuvent manquer de s'enfuivre, & qui ne fert pas moins à la beauté, qu'à l'affermifTement...
Página 323 - Nature, quel qu'il foir,refte toujours voilé à nos yeux. Qu'eftce que les hommes peuvent donc faire de mieux , dans cette ignorance profonde où ils font tous plongés , que de conformer & leurs projets & leurs...
Página 135 - 'accrut d'une infinité de manieres , furtout en paflant par les mains des Egyptiens & des Grecs. Ces deux peuples oferent en faire une Science dans les formes, accompagnée d'un long détail de règles & de préceptes : & ce qui paroîtra du moins auffi extraordinaire , tout le monde fe réunit pour regarder cette Science comme quelque chofe de fërieux.
Página 288 - Univers ; mais fî vous avez, le bonheur de le connaître, gardez. - vous bien d'en parler au Peuple. Tout cela rendoit de plus en plus le fecours des Fables néceflaire.
Página 236 - Obfervateurs de la Nature, difcouroient à pure perte. On eft perfuadé que les germes de tous les corps organiques * ont été produits au commencement du Monde , ëc qu'il n'ya eu dans la fuite que des developpemens fucceflîrs , fuivant l'ordre & les befbins de la Nature.
Página 303 - ... dans la bouche un œuf. Il ya apparence que, préfomptueux comme étoient les Egyptiens, ils vouloient faire entendre que toute la Terre appartient à l'homme , & qu'elle n'eft fertile que pour fes befoins : les Phéniciens au contraire plus retenus, fe contentoient de montrer que fi l'homme a fur les chofes...
Página 351 - L'orateur romain ajoute que Platon étant venu en Italie pour converfer avec les difciples de Pythagore , approuva tout ce qu'ils difoient de l'immortalité de l'âme , & en donna même une forte de démonftration qui fut alors très-ap-» plaudie : mais il faut avouer que rien n'eft plu» frêle que cette démonftration , Si qu'elle part d'un principe fufpedt.