...très-difficile, remarque Platon, de.conç " naître le Pere, le Souverain Arbitre de o m l'est Univers ; mais fî vous avez, le bonheur de le connaître, gardez. -...cela rendoit de plus en plus le fecours des Fables néceflaire. Elles avoient deux fens; un littéral, ajulié à la portée des efprits foibles, & un...

...ora, •J'eet ljnivers . mais Jî vous avez, le bonheur de le connaître, gardez-vous bien d'en carier au Peuple. Tout cela rendoit de plus en plus le fecours des Fables néceflaire. Elles avoient deux fens; nn littéral, ajufté à la portée des efprits foibles; Se un...

...très-difficile, dit-il, de connaître le « père, le souverain arbitre de cet univers; mais « si vous avez le bonheur de le connaître, gardez« vous bien d'en parler au peuple. » Les philosophes, aussi-bien que les législateurs, étaient dans ce principe, que la vérité était...

...très-difficile, dit-il, de connaître le « père, le souverain arbitre de cet univers; mais « si vous avez le bonheur de le connaître, gardez« vous bien d'en parler au peuple. » Les philosophes, aussi-bien que les législateurs, étaient dans ce principe, que la vérité était...

...Père, le Souverain Arbitre de cet Univers; mais si vous avez le bonheur de la connaître, gardez-vous bien d'en parler au Peuple. Tout cela rendoit de plus en plus le secours des Fables nécessaire. Elles avoient deux sens; un littéral, ajusté à la portée des esprits...