Oeuvres complètes, Volumen451792 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 40
Página 3
... long - temps , n'excitaient plus la jaloufie de perfonne : et comme M. de Voltaire avait de plus le tort d'avoir raifon prefque toujours , bien des gens ne lui ont point encore pardonné . Pafcal eft dans fes penfées , comme dans fes ...
... long - temps , n'excitaient plus la jaloufie de perfonne : et comme M. de Voltaire avait de plus le tort d'avoir raifon prefque toujours , bien des gens ne lui ont point encore pardonné . Pafcal eft dans fes penfées , comme dans fes ...
Página 8
... long - temps fur les penfées de M. Pafcal . Ne me comparez point ici , je vous prie , à Ezé bias , qui voulut faire brûler tous les livres de Salomon . Je refpecte le génie et l'éloquence de M. Pafcal ; mais plus je les refpecte , plus ...
... long - temps fur les penfées de M. Pafcal . Ne me comparez point ici , je vous prie , à Ezé bias , qui voulut faire brûler tous les livres de Salomon . Je refpecte le génie et l'éloquence de M. Pafcal ; mais plus je les refpecte , plus ...
Página 33
... temps - là . CET homme fait à merveille : la diffipation eft un remède plus für contre la douleur , que le quin ... long- temps tourmenté ; ce n'eft un remède que pour les petits maux . XX VII I. Qu'on s'imagine un nombre d'hommes dans ...
... temps - là . CET homme fait à merveille : la diffipation eft un remède plus für contre la douleur , que le quin ... long- temps tourmenté ; ce n'eft un remède que pour les petits maux . XX VII I. Qu'on s'imagine un nombre d'hommes dans ...
Página 34
... long - temps ; car ce qu'on dit des cerfs et des corbeaux n'eft qu'une fable . Au lieu donc de nous étonner et de nous plaindre du malheur et de la briéveté de la vie , nous devons nous étonner et nous féliciter de notre bonheur et dé ...
... long - temps ; car ce qu'on dit des cerfs et des corbeaux n'eft qu'une fable . Au lieu donc de nous étonner et de nous plaindre du malheur et de la briéveté de la vie , nous devons nous étonner et nous féliciter de notre bonheur et dé ...
Página 36
... temps être folie , et être démontré par la raison ? X X X I. LES fages parmi les païens , qui ont dit qu'il n'y a qu ... long - temps haïs , per- fécutés et maffacrés . X X X I I. COMBIEN les lunettes nous ont 36 REMARQUES SUR LES PENSÉES.
... temps être folie , et être démontré par la raison ? X X X I. LES fages parmi les païens , qui ont dit qu'il n'y a qu ... long - temps haïs , per- fécutés et maffacrés . X X X I I. COMBIEN les lunettes nous ont 36 REMARQUES SUR LES PENSÉES.
Otras ediciones - Ver todas
Oeuvres complètes: Dialogues Et Entretiens Philosophiques ; 1, Volumen45 Voltaire Vista completa - 1785 |
Términos y frases comunes
abfurde abominable adorait affaffine affez affurément Agag ainfi auffi barbares Bethleem c'eft c'eſt chaffer chap chofe chrétiens confervaient crime défert DIEU eft difait difciples difent difputes dire Divinité efprit égorger Egyptiens Elevons enfans enfeigne enfuite eſt évangiles exifte fables facré fages faint fang fans fauffe favez favoir fecte fefait felon femble femme fens fentiment ferait fervir feul fiècles filles fix cents fociété foient foit foleil fommes font fous fouvent frères fujet fuperftition fupplice fuppofe fuprême fur la terre Grecs groffier Hébreux hommes jamais jéfuites Jérufalem JESUS Jofeph Jofué jufqu'à jufte juftice Juifs juive korban l'efprit l'hiftoire l'homme laiffer livre long-temps maffacrés miférables mille miracles Moife monde n'eft n'eſt nations néceffaire Pafcal paffe penfer Pentateuque père perfécutés perfonne peuple Phéniciens Philof philofophe plufieurs préfent prefque prêtres prophète puiffe qu'un raifon refpectable refte religion ridicule rois Romains s'eft théiftes théisme tribu de Benjamin vérité Zoroastre دو
Pasajes populares
Página 46 - A mesure qu'on a plus d'esprit , on trouve qu'il ya plus d'hommes originaux. Les gens du commun ne trouvent pas de différence entre les hommes.
Página 9 - Pensées était de montrer l'homme dans un jour odieux; il s'acharne à nous peindre tous méchants et malheureux; il écrit contre la nature humaine à peu près comme il écrivait contre les jésuites.
Página 51 - ... parce qu'on sait mieux en quoi consiste l'agrément d'une femme que l'agrément des vers.
Página 40 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent: la première est la pure ignorance naturelle, où se trouvent tous les hommes en naissant. L'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes, qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien, et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis; mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Página 18 - En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, et ces contrariétés étonnantes qui se découvrent dans sa nature, et regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à lui-même, et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis, ce qu'il...
Página 154 - Il est donc démontré que l'athéisme peut tout au plus laisser subsister les vertus sociales dans la tranquille apathie de la vie privée, mais qu'il doit porter à tous les crimes dans les orages de la vie publique. Une...
Página 19 - ... demeurent inébranlables dans leur conduite, mais que Dieu ne laissera pas éternellement les autres peuples dans ces ténèbres, qu'il viendra un libérateur pour tous, qu'ils sont au monde pour l'annoncer...
Página 49 - Mais il aspirera peut-être à connaître au moins les parties avec lesquelles il a de la proportion. Mais les parties du monde ont toutes un tel rapport et un tel enchaînement l'une avec l'autre , que je crois impossible de connaître l'une sans l'autre et sans le tout.
Página 34 - D'où vient que cet homme qui a perdu depuis peu de mois son fils unique, et qui , accablé de procès et de querelles, était ce matin si troublé, n'y pense plus maintenant? Ne vous en étonnez pas : il est tout occupé à voir par où passera ce sanglier que les chiens poursuivent avec tant d'ardeur depuis six heures.
Página 47 - Ceux qui jugent d'un ouvrage par règle sont, à l'égard des autres , comme ceux qui ont une montre à l'égard de ceux qui n'en ont point.