Courbe d'un vent fougueux l'impétueufe haleine. Dans ces traits mal-formés par ma tremblante main. C'EN eft fait, je renonce à la vaine efperan ce D'inspirer à ton coeur quelque reconnoiffance: Rien n'égale l'excès de mes douleurs mortelles: Presque tous mes cheveux par moi-même arra- Sont de mon désespoir une preuve funeste: Toi feul peux de ma rage en garantir le refte. Mais ton retour (uffit pour arrêter fes coups. Le vent change; et flattant mes fouhaits les plus doux, Dourrigne'. L Dourrigne'. A rentrer dans ce port fon fouffle heureux t'invite: Que ta pitié pour moi me tienne lieu d'amour. A mes os du bûcher accorder les honneurs, Leipzig, gedruckt bei Christian Friedrich Solbrig. |