Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 |
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... liberté nais- sante de la France . » Délibérer avec soudaineté , avec enthousiasme sur un objet aussi grave et aussi important , c'est s'exposer à des revers militaires , c'est compromettre le salut de la répu blique , l'existence des ...
... liberté nais- sante de la France . » Délibérer avec soudaineté , avec enthousiasme sur un objet aussi grave et aussi important , c'est s'exposer à des revers militaires , c'est compromettre le salut de la répu blique , l'existence des ...
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... liberté est devenue créancière de tous les citoyens ; les uns lui doivent leur industrie , les autres leur fortune , ceux- ci leurs conseils , ceux - là leurs bras ; tous lui doivent le sang qui coule dans leurs veines . >> Ainsi donc ...
... liberté est devenue créancière de tous les citoyens ; les uns lui doivent leur industrie , les autres leur fortune , ceux- ci leurs conseils , ceux - là leurs bras ; tous lui doivent le sang qui coule dans leurs veines . >> Ainsi donc ...
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... liberté . » Ce serait une bien courte spéculation , celle de fabri- quer en un instant et dans un seul lieu les instruments des combats . Le despotisme , toujours craintif , désarmait les campagnes ; ses manufactures ne travaillaient ...
... liberté . » Ce serait une bien courte spéculation , celle de fabri- quer en un instant et dans un seul lieu les instruments des combats . Le despotisme , toujours craintif , désarmait les campagnes ; ses manufactures ne travaillaient ...
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... liberté . Washington avait son ar- mée , pressée par le besoin , entre la Nouvelle - Jersey et la Pensylvanie ; il demande des secours en grains aux habi- tants de ces belles contrées : des lenteurs , plutôt que des résistances , se ...
... liberté . Washington avait son ar- mée , pressée par le besoin , entre la Nouvelle - Jersey et la Pensylvanie ; il demande des secours en grains aux habi- tants de ces belles contrées : des lenteurs , plutôt que des résistances , se ...
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... liberté , sa souveraineté , contre un morceau de pain , ce qu'il ne fera assurément jamais . ( Non , non ! s'écrie - t - on d'une voix unanime . ) » De nouveaux seigneurs , non moins cruels , non moins avides , non moins insolents que ...
... liberté , sa souveraineté , contre un morceau de pain , ce qu'il ne fera assurément jamais . ( Non , non ! s'écrie - t - on d'une voix unanime . ) » De nouveaux seigneurs , non moins cruels , non moins avides , non moins insolents que ...
Términos y frases comunes
accusés agents armées arrêté assemblées avaient avez Barrère Billaud Billaud-Varennes bons citoyens Bourdon de l'Oise Brissot calomnie Camille Desmoulins Chabot chargé collègues comité de salut comité de sûreté commission commission des vingt-un complices conjurés conspirait conspirateurs constitution contre-révolution convention nationale coupables courage Couthon crime criminelles Danton déclare décret défenseurs demande dénoncer députés despotisme doit Dumouriez ennemis Fabre Fabre d'Eglantine factions force fripons gouvernement révolutionnaire guerre hommes intrigues j'ai Jacobins justice l'aristocratie l'arrestation l'assemblée l'ordre du jour Legendre législation Léonard Bourdon liberté lois long-temps membres ment mesures nation parcequ'il parceque parler patrie patriotes perfides Philippeaux politique présent président prévenus principes projet proposition publique punir rapport représentants du peuple représentation nationale républicains république révolution Robespierre rois Ronsin Saint-Just salut public sauver scélérats séance sections sent sera seront seul sûreté générale terreur tion tisme toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune tyrans vention vérité vertu Vifs applaudissements voix voulait
Pasajes populares
Página 324 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport du comité de salut public, déclare qu'appuyée sur les vertus du peuple français elle fera triompher la République démocratique , et punira sans pitié tous ses ennemis.
Página 367 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Página 398 - Ils m'appellent tyran ! Si je l'étais, ils ramperaient à mes pieds, je les gorgerais d'or, je leur assurerais le droit de commettre tous les crimes, et ils seraient reconnaissants. Si je l'étais, les rois que nous avons vaincus, loin de me dénoncer (quel tendre intérêt ils prennent à notre liberté!), me prêteraient leur coupable appui, je transigerais avec eux.
Página 357 - La vie des scélérats est ici mise en balance avec celle du peuple : ici, toute lenteur affectée est coupable, toute formalité indulgente ou superflue est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Página 201 - État libre ; les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.
Página 352 - Il met au premier rang de ses devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, desunir les tyrans et les traîtres , de secourir les malheureux , de respecter les faibles , de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne.
Página 425 - Je n'ai pas voulu récriminer; mais j'ai vu hier la séance des Jacobins; j'ai frémi pour la Patrie; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation.
Página 256 - Mauvais citoyen , tu as conspiré ; faux ami , tu disais il ya deux jours du mal de Desmoulins , instrument que tu as perdu , et tu lui prêtais des vices honteux ; méchant homme , tu as comparé l'opinion publique à une femme de mauvaise vie ; tu as dit que l'honneur était ridicule ; que la gloire et la postérité étaient une sottise : ces maximes devaient te concilier l'aristocratie ; elles étaient celles de Catilina. Si Fabre est innocent , si d'Orléans , si Dumourier furent innocens ,...
Página 346 - C'est vous qui avez dit aux rois : ' Vous êtes les images de Dieu sur la terre ; c'est de lui seul que vous tenez votre puissance ; ' et les rois vous ont répondu : ' Oui, vous êtes vraiment les envoyés de Dieu ; unissons-nous pour partager les dépouilles et les adorations des mortels.
Página 254 - ... toi. A la tribune, quand ton silence était accusé, tu leur donnais des avis salutaires pour qu'ils dissimulassent davantage; tu les menaçais sans indignation , mais avec une bonté paternelle , et tu leur donnais plutôt des conseils pour corrompre la liberté, pou r se sauver, pour mieu,x nous tromper , que tu n'en donnais au parti républicain pour les perdre. La haine , disais-tu, est insupportable à mon cœur, et tu nous avais dit: je n'aime point Marat.