Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 80
Página 4
... places fortes sont - elles toutes au pou- voir de l'Autrichien ? Les forteresses si honorées de Lille et de Thionville n'existent - elles plus ? L'Anglais a - t - il com- mis encore tous ses forfaits ? L'Espagnol ne compte - t - il que ...
... places fortes sont - elles toutes au pou- voir de l'Autrichien ? Les forteresses si honorées de Lille et de Thionville n'existent - elles plus ? L'Anglais a - t - il com- mis encore tous ses forfaits ? L'Espagnol ne compte - t - il que ...
Página 7
... place et suivre leur véritable destinée dans les ré- volutions , les femmes oublieront les travaux futiles ; leurs ... places publiques ; ils y enflamme- ront le courage des jeunes guerriers ; ils propageront la haine des rois et l'unité ...
... place et suivre leur véritable destinée dans les ré- volutions , les femmes oublieront les travaux futiles ; leurs ... places publiques ; ils y enflamme- ront le courage des jeunes guerriers ; ils propageront la haine des rois et l'unité ...
Página 9
... place de la révolution . Ce sera une belle décoration pour nos places publiques , en attendant les monuments des arts , d'y voir forger les armes contre les tyrans et les aristo- , crates ! » Dix grandes foreries seront élevées dans des ...
... place de la révolution . Ce sera une belle décoration pour nos places publiques , en attendant les monuments des arts , d'y voir forger les armes contre les tyrans et les aristo- , crates ! » Dix grandes foreries seront élevées dans des ...
Página 11
... places fortes à n'être que des villes militaires , avec les seuls artistes et les ouvriers nécessaires à sa défense ; à n'être que des camps fermés de murailles ! Ce sera une belle époque , et elle n'est pas éloignée , celle où elle ...
... places fortes à n'être que des villes militaires , avec les seuls artistes et les ouvriers nécessaires à sa défense ; à n'être que des camps fermés de murailles ! Ce sera une belle époque , et elle n'est pas éloignée , celle où elle ...
Página 16
... places publiques pour exciter le courage des guerriers , prêcher la haine des rois et l'unité de la république . » 2. Les maisons nationales seront converties en caser- nes , les places publiques en ateliers d'armes ; le sol des caves ...
... places publiques pour exciter le courage des guerriers , prêcher la haine des rois et l'unité de la république . » 2. Les maisons nationales seront converties en caser- nes , les places publiques en ateliers d'armes ; le sol des caves ...
Términos y frases comunes
accusés agents armées arrêté assemblées avaient avez Barrère Billaud Billaud-Varennes bons citoyens Bourdon de l'Oise Brissot calomnie Camille Desmoulins Chabot chargé collègues comité de salut comité de sûreté commission commission des vingt-un complices conjurés conspirait conspirateurs constitution contre-révolution convention nationale coupables courage Couthon crime criminelles Danton déclare décret défenseurs demande dénoncer députés despotisme doit Dumouriez ennemis Fabre Fabre d'Eglantine factions force fripons gouvernement révolutionnaire guerre hommes intrigues j'ai Jacobins justice l'aristocratie l'arrestation l'assemblée l'ordre du jour Legendre législation Léonard Bourdon liberté lois long-temps membres ment mesures nation parcequ'il parceque parler patrie patriotes perfides Philippeaux politique présent président prévenus principes projet proposition publique punir rapport représentants du peuple représentation nationale républicains république révolution Robespierre rois Ronsin Saint-Just salut public sauver scélérats séance sections sent sera seront seul sûreté générale terreur tion tisme toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune tyrans vention vérité vertu Vifs applaudissements voix voulait
Pasajes populares
Página 324 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport du comité de salut public, déclare qu'appuyée sur les vertus du peuple français elle fera triompher la République démocratique , et punira sans pitié tous ses ennemis.
Página 367 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Página 398 - Ils m'appellent tyran ! Si je l'étais, ils ramperaient à mes pieds, je les gorgerais d'or, je leur assurerais le droit de commettre tous les crimes, et ils seraient reconnaissants. Si je l'étais, les rois que nous avons vaincus, loin de me dénoncer (quel tendre intérêt ils prennent à notre liberté!), me prêteraient leur coupable appui, je transigerais avec eux.
Página 357 - La vie des scélérats est ici mise en balance avec celle du peuple : ici, toute lenteur affectée est coupable, toute formalité indulgente ou superflue est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Página 201 - État libre ; les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.
Página 352 - Il met au premier rang de ses devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, desunir les tyrans et les traîtres , de secourir les malheureux , de respecter les faibles , de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne.
Página 425 - Je n'ai pas voulu récriminer; mais j'ai vu hier la séance des Jacobins; j'ai frémi pour la Patrie; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation.
Página 256 - Mauvais citoyen , tu as conspiré ; faux ami , tu disais il ya deux jours du mal de Desmoulins , instrument que tu as perdu , et tu lui prêtais des vices honteux ; méchant homme , tu as comparé l'opinion publique à une femme de mauvaise vie ; tu as dit que l'honneur était ridicule ; que la gloire et la postérité étaient une sottise : ces maximes devaient te concilier l'aristocratie ; elles étaient celles de Catilina. Si Fabre est innocent , si d'Orléans , si Dumourier furent innocens ,...
Página 346 - C'est vous qui avez dit aux rois : ' Vous êtes les images de Dieu sur la terre ; c'est de lui seul que vous tenez votre puissance ; ' et les rois vous ont répondu : ' Oui, vous êtes vraiment les envoyés de Dieu ; unissons-nous pour partager les dépouilles et les adorations des mortels.
Página 254 - ... toi. A la tribune, quand ton silence était accusé, tu leur donnais des avis salutaires pour qu'ils dissimulassent davantage; tu les menaçais sans indignation , mais avec une bonté paternelle , et tu leur donnais plutôt des conseils pour corrompre la liberté, pou r se sauver, pour mieu,x nous tromper , que tu n'en donnais au parti républicain pour les perdre. La haine , disais-tu, est insupportable à mon cœur, et tu nous avais dit: je n'aime point Marat.