Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 |
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... s'est occupé , et les plans s'exécutent dans ce moment par des artistes renommés et des administra- teurs d'un patriotisme prononcé ; le comité s'est occupé de former à Paris un établissement national pour une grande fabrication d'armes ...
... s'est occupé , et les plans s'exécutent dans ce moment par des artistes renommés et des administra- teurs d'un patriotisme prononcé ; le comité s'est occupé de former à Paris un établissement national pour une grande fabrication d'armes ...
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... s'est emparée des denrées de première néces- sité . Vous l'avez frappée , mais vous ne l'avez qu'étourdie , et à l'ombre même des lois elle continue ses briganda- ges . 1 » Vous avez fait des lois sages ; elles promettent le bon- heur ...
... s'est emparée des denrées de première néces- sité . Vous l'avez frappée , mais vous ne l'avez qu'étourdie , et à l'ombre même des lois elle continue ses briganda- ges . 1 » Vous avez fait des lois sages ; elles promettent le bon- heur ...
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... s'est environné des lumières de quelques bons citoyens , connus dans Paris pour êtreles pa- trioles les plus ardents et les plus éclairés . La délibération tient dans ce moment . Vous y retrouverez ces deux bases indispensables ...
... s'est environné des lumières de quelques bons citoyens , connus dans Paris pour êtreles pa- trioles les plus ardents et les plus éclairés . La délibération tient dans ce moment . Vous y retrouverez ces deux bases indispensables ...
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... s'est étrangement trompé . J'ai là - dessus des observations à faire , et je demande qu'on donne la définition des gens suspects . D'abord dans la classe des ci - devant nobles , presque toute la jeunesse est émigrée . Il n'est resté ...
... s'est étrangement trompé . J'ai là - dessus des observations à faire , et je demande qu'on donne la définition des gens suspects . D'abord dans la classe des ci - devant nobles , presque toute la jeunesse est émigrée . Il n'est resté ...
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... s'est signalée que par des trahisons . Les nobles furent tou- jours les ennemis irréconciliables de l'égalité et de l'huma- nité : pour leur ôter tout moyen de grossir les hordes de nos ennemis , nous demandons qu'ils soient mis en ...
... s'est signalée que par des trahisons . Les nobles furent tou- jours les ennemis irréconciliables de l'égalité et de l'huma- nité : pour leur ôter tout moyen de grossir les hordes de nos ennemis , nous demandons qu'ils soient mis en ...
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 324 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport du comité de salut public, déclare qu'appuyée sur les vertus du peuple français elle fera triompher la République démocratique , et punira sans pitié tous ses ennemis.
Página 367 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Página 398 - Ils m'appellent tyran ! Si je l'étais, ils ramperaient à mes pieds, je les gorgerais d'or, je leur assurerais le droit de commettre tous les crimes, et ils seraient reconnaissants. Si je l'étais, les rois que nous avons vaincus, loin de me dénoncer (quel tendre intérêt ils prennent à notre liberté!), me prêteraient leur coupable appui, je transigerais avec eux.
Página 357 - La vie des scélérats est ici mise en balance avec celle du peuple : ici, toute lenteur affectée est coupable, toute formalité indulgente ou superflue est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Página 201 - État libre ; les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.
Página 352 - Il met au premier rang de ses devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, desunir les tyrans et les traîtres , de secourir les malheureux , de respecter les faibles , de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne.
Página 425 - Je n'ai pas voulu récriminer; mais j'ai vu hier la séance des Jacobins; j'ai frémi pour la Patrie; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation.
Página 256 - Mauvais citoyen , tu as conspiré ; faux ami , tu disais il ya deux jours du mal de Desmoulins , instrument que tu as perdu , et tu lui prêtais des vices honteux ; méchant homme , tu as comparé l'opinion publique à une femme de mauvaise vie ; tu as dit que l'honneur était ridicule ; que la gloire et la postérité étaient une sottise : ces maximes devaient te concilier l'aristocratie ; elles étaient celles de Catilina. Si Fabre est innocent , si d'Orléans , si Dumourier furent innocens ,...
Página 346 - C'est vous qui avez dit aux rois : ' Vous êtes les images de Dieu sur la terre ; c'est de lui seul que vous tenez votre puissance ; ' et les rois vous ont répondu : ' Oui, vous êtes vraiment les envoyés de Dieu ; unissons-nous pour partager les dépouilles et les adorations des mortels.
Página 254 - ... toi. A la tribune, quand ton silence était accusé, tu leur donnais des avis salutaires pour qu'ils dissimulassent davantage; tu les menaçais sans indignation , mais avec une bonté paternelle , et tu leur donnais plutôt des conseils pour corrompre la liberté, pou r se sauver, pour mieu,x nous tromper , que tu n'en donnais au parti républicain pour les perdre. La haine , disais-tu, est insupportable à mon cœur, et tu nous avais dit: je n'aime point Marat.