Napoléon

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Ivison, Blakeman, Taylor, & Company, 1875 - 266 páginas
 

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Página 88 - de plusieurs actes d'administration, car le bien qu'on fera a mon peuple me sera toujours cher. Mais il se trompe s'il croit m'engager à transiger» sur mes droits : loin de là, il les établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment. J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur
Página 232 - 6 sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse royale, comme celle du plus puissant, du plus constant, du 8 plus généreux de mes ennemis. " Napoléon." 10 Le 16 juillet, le Bellérophon fit voile pour l'Angleterre. Le 24. il mouilla à
Página 233 - ennemi, qui fit 4 longtemps la guerre au peuple anglais, vint librement, dans son infortune, chercher un asile sous ses lois :** quelle plus 6 grande preuve pouvait-il lui donner de son estime et de sa confiance? Mais comment répondit-on, en Angleterre, à une 8 telle magnanimité ? On feignit
Página 87 - France, il vous faudrait marcher sur cent mille cadavres. Sacrifiez votre intérêt au repos et au bonheur de la France. L'histoire vous en tiendra compte. Je ne suis point insensible aux malheurs de votre famille, et j'apprendrai avec plaisir que vous êtes environné de tout
Página 161 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix 14 en Europe," l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce pour lui .et ses héritiers au trône de France 16 et d'Italie, parce qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à la France.
Página 253 - être un instrument entre les mains des triumvirs qui oppriment les peuples de l'Europe. Il ne doit jamais combattre, ni nuire en aucune autre manière à la France ; il doit adopter ma devise : Tout pour le peuple français. 5" Je meurs prématurément, assassiné par l'oligarchie anglaise et son sicaire; le peuple anglais ne tardera pas à me venger.
Página 88 - cher. Mais il se trompe s'il croit m'engager à transiger» sur mes droits : loin de là, il les établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment. J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur
Página 264 - lieutenantgénéral d'artillerie, ancien seigneur de Saint-André, qui a commandé l'école d'Auxonne avant la révolution, la somme de 100,000 (cent mille francs), comme souvenir de reconnaissance pour les soins que ce brave général a pris de nous, lorsque nous étions comme lieutenant et capitaine sous ses ordres. 2° Idem, au fils, ou petit-fils du général
Página 247 - vous ne ferez rien qui puisse la blesser. J'ai sanctionné tous les principes, je les ai infusés dans mes lois, dans 18 mes actes; il n'y en a pas un seul que je n'aie consacré. Malheureusement, les circonstances étaient graves : j'ai été 20 obligé de sévir, d'ajourner ; les revers sont venus, je n'ai pu débander
Página 253 - très-chère épouse, MarieLouise ; je lui conserve jusqu'au dernier moment les plus tendres sentiments; je la prie de veiller pour garantir mon fils des embûches qui environnent encore son enfance. 4" Je recommande à mon fils de ne jamais oublier qu'il est né prince français, et de ne jamais se prêter

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