Bibliothèque universelle, revue suisse et étrangère, Volumen1Bureau de la Bibliothèque universelle, 1858 |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
aime anglais assez Astié Barotsés beau Béchuanas Béranger Biblioth Boërs C'était Cassange chaleur Charles Charles Bonnet chef chercher chimique chose cœur corps côté devant développement Dieu dire docteur esprit fleuve force Genève genevois gens Genthod heureux historique homme idées indigènes j'ai j'avais jamais Jean Calas jour journal Kasaï Kolobeng l'auteur l'esprit l'Esprit des lois l'histoire l'homme l'Univers lac Ngami laisse liberté Linyanti littéraire littérature Livingstone livre Loanda Makololos Marie ment mille missionnaire monde morale mouvement Muveran nature œuvres ouvrage parler Pascal passer passions pays peintre pensée peuple peut-être phénomènes philosophie poésie poëte poétique politique premier qu'une réalisme régiment de Reinach régiment suisse religieux reste rien Robert Emmet Rösselet s'est Saint-Paul de Loanda sais science Sébituané Sékélétu semble sentiment serait service seul Shinté siècle soleil sorte souvent succès Taine talent théorie tion Töpffer tribus trouve Univ vérité Veuillot voilà volume voyage voyageurs vrai yeux Zambèze Zouga
Pasajes populares
Página 461 - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche , je puis rendre ce témoignage , qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune , mieux que la santé elle-même , c'est le dévouement à la science.
Página 578 - Quelle chimère est-ce donc que l'homme ? Quelle nouveauté, quel monstre, quel chaos, quel sujet de contradiction, quel prodige ! Juge de toutes choses, imbécile ver de terre; dépositaire du vrai, cloaque d'incertitude et d'erreur ; gloire et rebut de l'univers.
Página 575 - L'esprit de ce souverain juge du monde n'est pas si indépendant qu'il ne soit sujet à être troublé par le premier tintamarre qui se fait autour de lui. Il ne faut pas le bruit d'un canon pour empêcher ses pensées : il ne faut que le bruit d'une girouette ou d'une poulie. Ne vous étonnez pas s'il ne raisonne pas bien à présent ; une mouche bourdonne à ses oreilles : c'en est assez pour le rendre incapable de bon conseil.
Página 532 - Divines muses , je sens que vous m'inspirez , non pas ce -qu'on chante à Tempé sur les chalumeaux, ou ce qu'on répète à Délos sur la lyre: vous voulez que je parle à la raison ; elle est le plus parfait, le plus noble et le plus exquis de nos sens.
Página 105 - Quel beau jour pour vous ! Mais quand la pauvre Champagne Fut en proie aux étrangers, Lui, bravant tous les dangers Semblait seul tenir la campagne. Un soir, tout comme aujourd'hui, J'entends frapper à la porte ; J'ouvre, bon Dieu! c'était lui, Suivi d'une faible escorte. Il s'asseoit où me voilà, S'écriant : oh ! quelle guerre ! Oh ! quelle guerre ! — Il s'est assis là, grand'mère ! Il s'est assis là ! J'ai faim, dit-il, et bien vite Je sers piquette et pain bis.
Página 577 - États du monde et dans tous les temps, au lieu qu'on ne voit presque rien de juste ou d'injuste qui ne change de qualité en changeant de climat, '{'rois degrés d'élévation du pôle renversent toute la jurisprudence.
Página 560 - ... ya une chose que l'on n'a point vue sous le ciel, et que, selon toutes les apparences , on ne verra jamais . c'est une petite ville qui n'est divisée en aucuns partis, où les familles sont unies...
Página 532 - Je cours une longue carrière. Je suis accablé de tristesse et d'ennui. Mettez dans mon esprit ce charme et cette douceur que je sentais autrefois, et qui fuit loin de moi. Vous n'êtes jamais si divines que quand vous menez à la sagesse et à la vérité par le plaisir. Mais, si vous ne voulez point adoucir la rigueur de mes travaux, cachez le travail même: faites qu'on soit instruit, et que je n'enseigne pas; que je réfléchisse, et que je paraisse sentir; et lorsque j'annoncerai des choses...
Página 531 - Vierges du mont Piérie, entendez-vous le nom que je vous donne ? Inspirezmoi. Je cours une longue carrière. Je suis accablé de tristesse et d'ennui. Mettez dans mon esprit ce charme et cette douceur que je sentais autrefois, et qui fuit loin de moi. Vous n'êtes jamais si divines que quand vous menez à la sagesse et à la vérité par le plaisir. Mais, si vous ne voulez point adoucir la rigueur de mes travaux, cachez...
Página 584 - Lorsque tant de choses sur terre Proclament la Divinité, Et semblent attester d'un père L'amour, la force et la bonté...