 | 1849 - 896 páginas
...mômes étaient soulevés et entraînés dans le mouvement général. C'e> » là que j'ai vu ce qu'on pouvait faire des hommes, non en les contraignant,...les inspirant. Le sentiment religieux qui animait no л maîtres nous animait tous. Ils avaient l'art de rendre ce sentiment ai» niable et sensible,... | |
 | 1849 - 672 páginas
...naturel, vers le bien et vers le beau. Les plus rebelles eux-mêmes étaient soulevés et entraînés par le mouvement général. C'est là que j'ai vu ce que l'on pouvait faire des hommes, non eu les contraignant, mais en les inspirant... «Nos maîtres ne faisaient pas semblant de'nous aimer,... | |
 | Louis Veuillot - 1857 - 746 páginas
...naturel, vers le bien et vers le beau. Les plus rebelles eux-mêmes étaient soulevés et entraînés par le mouvement général. C'est là que j'ai vu ce que l'on pouvait faire des liornrnes , non en les contraignant, mais en les inspirant .. Nos maîtres ne faisaient pas semblant... | |
 | Gaetano Baluffi - 1858 - 404 páginas
...maîtres et les « disciples. Toutes nos âmes avaient retrouvé leurs « aîles et volaient d'un clan naturel vers le bien et « vers le beau. — Les plus...des « hommes, non en les contraignant, mais en les ins« pirant. Le sentiment religieux qui animait nos maî« tres nous animait tous. Ils avaient l'art... | |
 | Achille Guidée - 1860 - 424 páginas
...naturel vers le bien et vers le beau. Les plus rebelles eux-mêmes étaient soulevés et entrainés dans le mouvement général. C'est là que j'ai vu...inspirant. « Le sentiment religieux qui animait nos maitres nous animait tous. Ils avaient l'art de rendre ce sentiment aimable et sensible et de créer... | |
 | Louis Veuillot - 1861 - 602 páginas
...rebelles eux-mêmes étaient soulevés et entraînés par le mouvement général. C'est là que j 'ai vu ce que l'on pouvait faire des hommes, non en les contraignant, mais en les inspirant... Nos maîtres ne faisaient pas semblant de nous aimer, ils nous aimaient véritablement, comme les saints... | |
 | abbé V. Postel - 1867 - 340 páginas
...a vers le bien et vers le beau. Les plus reo belles eux-mêmes étaient soulevés et ena traînés dans le mouvement général. C'est « là que j'ai...faire des « hommes, non en les contraignant, mais o en les inspirant. Le sentiment religieux « qui animait nos maîtres nous animait tous. « Ils avaient... | |
 | Maurycy Dzieduszycki - 1868 - 476 páginas
...nieznośnego ducha katolickiego, który „le mouvement genóral. C'est 1& que j'ai vu ce que> „1'on pouvait faire des hommes, non en les contraignant, „mais en les inspirant... Nos maitres ne faisaient pas „semblant de nous aimer, ils nous aimaient veritablement „comme les... | |
 | Albert de Badts de Cugnac - 1879 - 176 páginas
...succès de la maison et à nous conduire par notre propre volonté et par notre propre enthousiasme. Un esprit divin semblait animer du même souffle les...vu ce que l'on pouvait faire des hommes, non en les contreignant, mais en les inspirant. » Le sentiment religieux qui animait nos maîtres nous animait... | |
 | Revue catholique des institutions et du droit, Grenoble - 1879 - 658 páginas
...eux-mêmes étaient soulevés et entraînés dans le mouvement général. C'est là que j'ai vu ce qu'on pouvait faire des hommes, non en les contraignant,...Ils avaient l'art de rendre ce sentiment aimable et de créer en nous la passion de Dieu. Avec un tel levier placé dans nos propres cœars, ils soulevaient... | |
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Un esprit divin semblait animer' du même souffle les maîtres et les disciples. Toutes nos âmes avaient retrouvé leurs ailes et volaient d'un élan naturel vers le bien et vers le beau. Les plus rebelles eux-mêmes étaient soulevés et entraînés... 
