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" C'est toi qui me devais ces soins religieux ; « Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. «Parle, parle, mon fils: quel chagrin te consume? « Les maux qu'on dissimule en ont plus d'amertume. «Ne lèveras-tu point ces yeux appesantis? "
Poésies - Página 38
por André Marie Chénier - 1820 - 274 páginas
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Journal des Savants

Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - 1819 - 788 páginas
...brûlante Qui dévore la fleur de sa vie innocente. Elle interroge ensuite son fils, qui répond : Ma mère, adieu; je meurs, et tu n'as plus de fils; Non, tu n'as plus de fils, ma mère bien aimée. Je te perds : une plaie ardente, envenimée Me ronge-; avec effort je respire, et je crois...
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Œuvres posthumes d'André Chénier: augmentées d'une notice historique, Volumen2

André Chénier - 1826 - 388 páginas
...que ce soit moi qui ferme ta paupière ? « Que j'unisse ta cendre à celle de ton père ? « C'est toi qui me devais ces soins religieux ; « Et ma tombe...de fils. « Non , tu n'as plus de fils , ma mère bien aimée : «Je te perds. Une plaie ardente, envenimée, « Me ronge ; avec effort je respire ;...
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Œuvres anciennes (Œuvres posthumes) revues, corrigées et mises ..., Volumen2

André Marie de Chénier - 1826 - 388 páginas
...veux que ce soit moi qui ferme ta paupière? «Que j'unisse ta cendre à celle de ton père? « C'est toi qui me devais ces soins religieux ; « Et ma tombe...plus de fils. «Non, tu n'as plus de fils, ma mère bien aimée: «Je te perds. Une plaie ardente, envenimée, «Me ronge ; avec effort je respire; et...
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Oeuvres completes de M. J. Chenier: precedees de notices ..., Volumen10

Marie-Joseph Chénier - 1829 - 398 páginas
...veux que ce soit moi qui ferme ta paupière? «Que j'unisse ta cendre à celle de ton père? « C'est toi qui me devais ces soins religieux ; « Et ma tombe...de fils. « Non , tu n'as plus de fils , ma mère bien aimée : « Je te perds. Une plaie ardente , envenimée , «Me ronge ; avec effort je respire;...
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Poésies de André Chénier

André Chénier - 1840 - 378 páginas
...Tu veux que ce soit moi qui ferme ta paupière? Que j'unisse ta cendre à celle de ton père ? C'est toi qui me devais ces soins religieux, Et ma tombe...— « Ma mère, adieu; je meurs, et tu n'as plus de lils. Vm, tu n'as plus de fils, ma mère bien-aimée. Je te perds. Une plaie ardente, envenimée, Me...
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Fleurs Du Parnasse Français: Or, Elegant Extracts from the Most Approved ...

Charles Picot - 1845 - 260 páginas
...veux que ce soit moi qui fermé ta paupière ? Que j'unisse ta cendre à celle de ton père ? C'est toi qui me devais ces soins religieux, Et ma tombe...te consume ? Les maux qu'on dissimule en ont plus d'amertune Ne lèveras-tu point ces yeux appesantis ?" — " Ma mère, adieu ; je meurs, et tu n'as...
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Poésies, précédées du̕ne notice par M.H. de Latouche

André Chénier - 1847 - 374 páginas
...Tu veux que ce soit moi qui ferme ta paupière? Que j'unisse ta cendraà celle de ton père? C'est toi qui me devais ces soins religieux, Et ma tombe...— « Ma mère, adieu; je meurs, et tu n'as plus de lils. Non, tu n'as plus de fils, ma mère bien-aimée. Je te perds. Une plaie ardente, envenimée,...
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Poésies de André Chénier: précédées d'une notice par H. de Latouche ...

André Chénier - 1852 - 348 páginas
...veux que ce soit moi qui ferme ta paupière ? Que j'unisse ta cendre à celle de ton père ? C'est loi qui me devais ces soins religieux , Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. Parle, parle, mon lîls, quel chagrin te consume ? Les maux qu'on dissimule en ont plus d'amerlumo. Ne lèveras-tu point...
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Le Magasin de librairie, Volumen1

1858 - 660 páginas
...malade. Pendant quelque temps, la mère du jeune homme ne sait pas ce qui le fait souffrir : qu'at-il? Parle, parle, mon fils ! quel chagrin te consume? Les maux qu'on dissimule en ont plus d'amertume. Le jeune homme se tait ; mais enfin , vaincu par les prières de sa mère, ou troublé par le délire...
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Le Magasin de librairie: littérature, histoire, philosophie ..., Volumen1

1858 - 678 páginas
...Pendant quelque temps, la mère du jeune homme ne sait pas ce qui le fait souffrir : qu'at-il? Tarie, parle, mon fils ! quel chagrin te consume? Les maux qu'on dissimule en ont plus d'amertume. Le jeune homme se tait ; mais enfin , vaincu par les prières de sa mère, ou troublé par le délire...
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