French prose and poetry: being an advanced French reader; containing selections from the principal classical French poets and prose writers during the past two hundred years. Also a treatise upon French versification, and notes upon the selections, explanatory and criticalWoolworth, Ainsworth,, 1870 - 448 páginas |
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... soleil ; et que l'on ne doit point chasser un mot qui a été dans la bouche de Charlemagne et de saint Louis . Mais c'est vous principale- ment , mademoiselle , qui êtes obligée d'en prendre la protec- tion.15 § 4. MÉZERAY , 1610-1683 ...
... soleil ; et que l'on ne doit point chasser un mot qui a été dans la bouche de Charlemagne et de saint Louis . Mais c'est vous principale- ment , mademoiselle , qui êtes obligée d'en prendre la protec- tion.15 § 4. MÉZERAY , 1610-1683 ...
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... soleil , et il en revient à son coucher ; vous le voyez planté , et qui a pris racine au milieu de ses tulipes et devant la Solitaire2 ; il ouvre de grands yeux , il frotte ses mains , il se baisse , il la voit de plus près , il ne l'a ...
... soleil , et il en revient à son coucher ; vous le voyez planté , et qui a pris racine au milieu de ses tulipes et devant la Solitaire2 ; il ouvre de grands yeux , il frotte ses mains , il se baisse , il la voit de plus près , il ne l'a ...
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... promet . Les feux du soleil ne sont plus obscurcis par des vapeurs grossières : ils ne sont pas encore 126 §§ 20 , 21 . SELECTIONS IN PROSE . Barthélemy, 1716–1795, • Le printemps du climat de la Grèce - Platon - Mort d'Epaminondas.
... promet . Les feux du soleil ne sont plus obscurcis par des vapeurs grossières : ils ne sont pas encore 126 §§ 20 , 21 . SELECTIONS IN PROSE . Barthélemy, 1716–1795, • Le printemps du climat de la Grèce - Platon - Mort d'Epaminondas.
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... soleil se lève sur un nouvel univers , et qu'il apporte de l'orient des couleurs inconnues aux mortels . Chaque instant ajoute un nouveau trait aux beautés de la nature ; à chaque instant , le grand ouvrage du développement des êtres ...
... soleil se lève sur un nouvel univers , et qu'il apporte de l'orient des couleurs inconnues aux mortels . Chaque instant ajoute un nouveau trait aux beautés de la nature ; à chaque instant , le grand ouvrage du développement des êtres ...
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... soleil , le vent alizé du sud - est se ralentit , comme il arrive d'ordinaire vers ce temps . Les nuages qu'il voiture dans le § 23 . 135 BERNARDIN DE SAINT - PIERRE . Bernardin de Saint-Pierre, 1737-1814, Spectacle des nuages sur Mer ...
... soleil , le vent alizé du sud - est se ralentit , comme il arrive d'ordinaire vers ce temps . Les nuages qu'il voiture dans le § 23 . 135 BERNARDIN DE SAINT - PIERRE . Bernardin de Saint-Pierre, 1737-1814, Spectacle des nuages sur Mer ...
Contenido
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Términos y frases comunes
admirable âme ATHALIE beau beauté BESCHERELLE Boileau Bossuet brillant bruit Buffon CARITIDÈS Carthage cesura chants charme choses ciel cieux cœur Corneille coup Dieu Diphile dire dôme du Goûter donne douleur doux éclat écrivains enfant enfin ennemis ÉRASTE esprit first following foule FRANÇOIS IER French génie glace glacier gloire goût Grignan guerre HARP Henri IV hommes j'ai jamais jour JOURD l'esprit l'homme l'univers laisse Louis XIV main maître malheureux ment mille Molière monde monsieur Montesquieu mort mourir nature nuit ouvrage parler passer peine pensée père peuple PHIL pieds plaisir pleurs poésie poète poetry premier présente prince profonde prose qu'un Racan RACINE raison regards reste rhyme rien rois Romains Rome sais sang semble sentiment sera seul siècle sorte souvent stanza style sublime syllables Taconnay terre tête tombe TRISSOTIN triste trouve Turenne used VADIUS vérité verse vertu veux Voilà voit voix VOLTAIRE word yeux
Pasajes populares
Página 67 - Celui qui règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois ; et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons.
Página 46 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini , un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Página 47 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent: la première est la pure ignorance naturelle, où se trouvent tous les hommes en naissant. L'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes, qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien, et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis; mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Página 80 - ... il applaudit, il sourit à ce que les autres lui disent, il est de leur avis, il court, il vole pour leur rendre de petits services, il est complaisant, flatteur, empressé ; il est mystérieux sur ses affaires, quelquefois menteur ; il est superstitieux, scrupuleux, timide ; il marche doucement et légèrement, il semble craindre de fouler la terre ; il marche les yeux baissés, et il n'ose les lever sur ceux qui passent ; il n'est jamais du nombre de ceux qui forment un cercle pour discourir,...
Página 267 - Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Página 81 - L'esprit de la conversation consiste bien moins à en montrer beaucoup qu'à en faire trouver aux autres ; celui qui sort de votre entretien content de soi et de son esprit l'est de vous parfaitement. Les hommes n'aiment point à vous admirer, ils veulent plaire ; ils cherchent moins à être instruits et même réjouis qu'à être goûtés et applaudis, et le plaisir le plus délicat est de faire celai d'autrui.
Página 292 - Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses ; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 33 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Página 57 - ... manteau, on le porte dans une haie; on le garde à petit bruit; un carrosse vient, on l'emporte dans sa tente : ce fut là où M.
Página 46 - Je lui veux peindre non seulement l'univers visible, mais l'immensité qu'on peut concevoir de la nature dans l'enceinte de ce raccourci d'atome; qu'il y voie une infinité d'univers, dont chacun a son firmament, ses planètes, sa terre, en la même proportion que le monde visible, dans cette terre des animaux, et enfin des cirons dans lesquels il retrouvera ce que les premiers ont donné...