Génie du Christianisme: ou Beaute's de la religion chrétienne, Volumen3Chez Migneret, imprimeur, 1802 |
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... j'ai trouvé le » vrai ; ma science est de la plus grande » utilité . Je vais vous dire ce que c'est que » la conscience , l'attention , la réminiscence » > ? Et à quoi tout cela me conduira - t - il ? Une chose n'est bonne , une chose n ...
... j'ai trouvé le » vrai ; ma science est de la plus grande » utilité . Je vais vous dire ce que c'est que » la conscience , l'attention , la réminiscence » > ? Et à quoi tout cela me conduira - t - il ? Une chose n'est bonne , une chose n ...
Página 121
... peut traduire , ne plie sous l'épée : j'ai préféré l'autre sens comme plus littéral et plus énergique . Spatha , emprunté du grec , est l'éty- mologie de notre mot épée . כל כל long - temps : il devient un je ( 121 )
... peut traduire , ne plie sous l'épée : j'ai préféré l'autre sens comme plus littéral et plus énergique . Spatha , emprunté du grec , est l'éty- mologie de notre mot épée . כל כל long - temps : il devient un je ( 121 )
Página 157
... J'ai trop connu Paris : mes légères pensées , Dans son enceinte immense au hasard dispersées , Veulent en vain rejoindre et lier tous les jours Leur fil demi - formé , qui se brise toujours . Seul , je viens recueillir mes vagues ...
... J'ai trop connu Paris : mes légères pensées , Dans son enceinte immense au hasard dispersées , Veulent en vain rejoindre et lier tous les jours Leur fil demi - formé , qui se brise toujours . Seul , je viens recueillir mes vagues ...
Página 162
... j'ai cherché , loin d'un monde volage , L'asyle où dans Paris s'écoula ton jeune âge ! Ces vénérables tours qu'allonge vers les cieux , La cathédrale antique où prioient nos aïeux ; Ces tours ont conservé ton amoureuse histoire . Là ...
... j'ai cherché , loin d'un monde volage , L'asyle où dans Paris s'écoula ton jeune âge ! Ces vénérables tours qu'allonge vers les cieux , La cathédrale antique où prioient nos aïeux ; Ces tours ont conservé ton amoureuse histoire . Là ...
Página 192
... j'ai été m'asseoir à la tienne : ainsi nous avons dû avoir des objets une vue totale- ment différente . Qui de toi ou de moi , a le plus gagné ou le plus perdu à ce chan- gement de position ? C'est ce que savent les Génies , dont le ...
... j'ai été m'asseoir à la tienne : ainsi nous avons dû avoir des objets une vue totale- ment différente . Qui de toi ou de moi , a le plus gagné ou le plus perdu à ce chan- gement de position ? C'est ce que savent les Génies , dont le ...
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Términos y frases comunes
à-la-fois amour antique arts Atala avoit beau beauté bois Bossuet c'étoit cabane Chactas chant chant Grégorien CHAPITRE chênes cher choses chré christianisme chûte ciel cœur couche d'Atala Démosthène désert Dieu divine douleur éloquence enfant esprit étoient étoit Fénélon fille fille du désert fleurs fleuve foible forêts François funèbres génie goût Grecs grotte guerrier harmonies hommes Hôtel des Invalides humain Indiens j'étois jeune jours l'ame l'amour l'éloquence l'histoire l'homme larmes loix Lopez Louis XIV main Massillon mère Meschacebé milieu Miscou mœurs monde montagne monumens morale mort mousse Natché nature nuit oiseaux moqueurs orateurs paroles Pascal passions patrie pensée peuple Philippe de Commines philosophie pleurs premier prêtre qu'un religieux RELIGION CHRÉTIENNE reste rien ruines Sachem saint sais Sauvages scène sciences sent seroit seul siècle de Louis silence Simaghan solitaire solitude sort sublime systême temple terre Tertullien Tite-Live tombe tombeau tout-à-coup vertus vieillard voix Voltaire voyoit Xénophon yeux сс כב
Pasajes populares
Página 108 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main : tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride , et par là il remue tout le genre humain.
Página 294 - Entre les deux chutes s'avance une île creusée en dessous, qui pend avec tous ses arbres sur le chaos des ondes. La masse du fleuve qui se précipite au midi, s'arrondit en un vaste cylindre, puis se déroule en nappe de neige et brille au soleil de toutes les couleurs ; celle qui tombe au levant descend dans une ombre effrayante; on dirait une colonne d'eau du déluge.
Página 283 - La lune prêta son pâle flambeau à cette veillée funèbre. Elle se leva au milieu de la nuit , comme une blanche vestale qui vient pleurer sur le cercueil d'une compagne.
Página 295 - ... descend dans une ombre effrayante; on dirait une colonne d'eau du déluge. Mille arcs-en-ciel se courbent et se croisent sur l'abîme. Frappant le roc ébranlé, l'eau rejaillit en tourbillons d'écume, qui s'élèvent au-dessus des forêts, comme les fumées d'un vaste embrasement. Des pins, des noyers sauvages, des rochers taillés en forme de fantômes décorent la scène. Des aigles entraînés par le courant d'air descendent en tournoyant au fond du gouffre, et des carcajous se suspendent...
Página 37 - Les sciences exactes nous ont accoutumés à dédaigner l'évidence morale, si féconde en belles sensations, et qui est faite pour déterminer les opinions et les actions de notre vie. » En effet, plusieurs personnes ont pensé que la science entre les mains de l'homme dessèche le cœur, désenchante la nature, mène les esprits faibles à l'athéisme, et de l'athéisme au crime...
Página 27 - L'architecte chrétien, non content de bâtir des forêts, a voulu, pour ainsi dire, en imiter les murmures; et au moyen de l'orgue et du bronze suspendu, il a attaché au temple gothique jusqu'au bruit des vents et des tonnerres, qui roule dans la profondeur des bois.
Página 186 - ... vers la mer les cadavres des pins et des chênes, on voit, sur les deux courants latéraux, remonter le long des rivages des îles flottantes de pistia et de nénuphar, dont les roses jaunes s'élèvent comme de petits pavillons.
Página 186 - ... c'est le Nil des déserts. Mais la grâce est toujours unie à la magnificence dans les scènes de la nature; et tandis que le courant du milieu entraîne vers la mer les cadavres des pins et des chênes...
Página 268 - L'habitant de la cabane et celui des palais, tout souffre, tout gémit ici-bas; les reines ont été vues pleurant comme de simples femmes, et l'on s'est étonné de la quantité de larmes que contiennent les yeux des rois ! « Est-ce votre amour que vous regrettez?