Revue philosophique de la France et de l'étranger, Volumen43Presses universitaires de France, 1897 |
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Términos y frases comunes
absolue abstraite Alcan animaux Aristote Auguste Comte c'est-à-dire caractère Carnéade cause cellules cérébrale cerveau chose conception conditions conscience considérer contradiction contraire Couturat créature Credaro d'autres Descartes déterminé développement Dieu différence dire distance distinction divine doctrine effet élémentaire manifestée éléments exemple expériences fonction forme générale globules grandeur groupe hasard Hegel Herbert Spencer idées intel jugement Kant l'auteur l'espace l'esprit l'être l'évolution l'expérience l'homme l'idée l'identité l'unité Leibniz liberté logique lois lui-même mathématiques mécanique ment mentale métaphysique méthode mètres morale Mosso mouvement Nassen nature nécessaire négation nerveux nombre nombre entier notion objet organes Parménide pensée perception phénomènes philosophie physiologie physique plastides Platon position positivisme pouvoir rotatoire première principe problème produit psychiques psychologie pure qu'une quantité question raison rapport réalité réel relation représentations résultats rêve science scientifique Secrétan sens sensation sentiment serait seulement simple sociale sociologie sommeil somnambulisme stéréoscopique substances R sujet synthèse système température termes théorie thermogenèse tion vérité visuelles volonté
Pasajes populares
Página 410 - ... n'est point assoupie ; que c'est avec dessein et de propos délibéré que j'étends cette main, et que je la sens; ce qui arrive dans le sommeil ne semble point si clair ni si distinct que tout ceci. Mais en y pensant soigneusement, je me ressouviens d'avoir souvent été trompé en dormant par de semblables illusions.
Página 617 - ... de cause différente de soi-même, ne procède pas du néant, mais de la réelle et véritable immensité de sa puissance, il nous est tout à fait loisible de penser qu'il fait en quelque façon la même chose à l'égard de soi-même que la cause efficiente à l'égard de son effet...
Página 67 - Et en effet comment concevoir que la cause ou condition immédiate contienne vraiment tout ce qu'il faut pour expliquer l'effet ? Elle ne contiendra jamais ce en quoi l'effet se distingue d'elle, cette apparition d'un élément nouveau qui est la condition indispensable d'un rapport de causalité. Si l'effet est de tout point identique à la cause, il ne fait qu'un avec elle et n'est pas un effet véritable. S'il s'en distingue, c'est qu'il est jusqu'à un certain point d'une autre nature; et alors...
Página 615 - ... qui peut-être n'est pas beaucoup intelligent. Car ce mot par soi est pris en deux façons. En la première il est pris positivement , à savoir, par soimême comme par une cause ; et ainsi ce qui serait par soi et se donnerait l'être à soi-même , si par un choix prévu et prémédité il se donnait ce qu'il voudrait , sans doute qu'il se donnerait toutes choses , et parlant il serait Dieu.
Página 215 - Les rapports sociaux sont intimement liés aux forces productives. En acquérant de nouvelles forces productives, les hommes changent leur mode de production et en changeant le mode de production, la manière de gagner leur vie, ils changent tous leurs rapports sociaux. Le moulin à bras vous donnera la société avec le suzerain ; le moulin à vapeur la société avec le capitaliste industriel.
Página 410 - Mais, en y pensant soigneusement, je me ressouviens d'avoir souvent été trompé en dormant par de semblables illusions; et, en m'arrêtant sur cette pensée, je vois si manifestement qu'il n'ya point d'indices certains par où l'on puisse distinguer nettement la veille d'avec le sommeil, que j'en suis tout étonné; et mon étonnement est tel qu'il est presque capable de me persuader que je dors.
Página 621 - Dieu n'a pas non plus la faculté de se priver de son existence, car par ce mot de faculté nous entendons ordinairement quelque perfection; or ce serait une imperfection en Dieu de se pouvoir priver de sa propre existence : c'est pourquoi pour obvier aux calomnies des médisants, je...
Página 617 - ... si quelqu'un demande pourquoi Dieu est, ou pourquoi il ne cesse point d'être, il ne faut point chercher en Dieu ni hors de Dieu de cause efficiente ou quasi efficiente, (car je ne dispute pas ici du nom, mais de la chose) mais il faut dire pour cette raison, parce que telle est la nature de l'être souverainement parfait.
Página 616 - Or maintenant, si une chose est de par soi, c'est-à-dire non par autrui, comment prouverez-vous pour cela qu'elle comprend tout et qu'elle est infinie? Car, à présent, je ne vous écoute point, si vous dites : puisqu'elle est par soi, elle se sera aisément donné toute chose; d'autant...
Página 214 - On aurait anéanti tous les éléments qui constituaient la lutte, et étouffé dans son germe le développement de la bourgeoisie. On se serait posé l'absurde problème d'éliminer l'histoire.