The Foreign Sacred Lyre: Metrical Versions of Religious Poetry from the German, French, and Italian, Together with the Original Pieces

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Jackson & Walford, 1857 - 295 páginas

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Página 34 - NICHT in den Ozean der Welten alle Will ich mich stürzen ! schweben nicht, Wo die ersten Erschaffnen, die Jubelchöre der Söhne des Lichts, Anbeten, tief anbeten ! und in Entzückung vergehn ! Nur um den Tropfen am Eimer, Um die Erde nur, will ich schweben, und anbeten...
Página 154 - Que le Seigneur est bon! que son joug est aimable! Heureux qui dès l'enfance en connaît la douceur! Jeune peuple, courez à ce maître adorable : Les biens les plus charmants n'ont rien de comparable Aux torrents de plaisirs qu'il répand dans un cœur. Que le Seigneur est bon! que son joug est aimable! lieureux qui dès l'enfance en connaît la douceur!
Página 130 - Vous qui ne connaissez qu'une crainte servile, Ingrats, un Dieu si bon ne peut-il vous charmer ? Est-il donc à vos cœurs, est-il si difficile Et si pénible de l'aimer ? L'esclave craint le tyran qui l'outrage ; Mais des enfans l'amour est le partage.
Página 156 - J'adore en périssant la raison qui t'aigrit. Mais dessus quel endroit tombera ton tonnerre, Qui ne soit tout couvert du sang de Jésus-Christ...
Página 134 - O bienheureux mille fois L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix, Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
Página 34 - Nur um den Tropfen am Eimer, Um die Erde nur will ich schweben und anbeten! Halleluja! Halleluja! Der Tropfen am Eimer Rann aus der Hand des Allmächtigen auch!
Página 40 - Rings umher ist alles still! Auch das Würmchen, mit Golde bedeckt, merkt auf! Ist es vielleicht nicht seelenlos? Ist es unsterblich? Ach, vermöcht ich dich, Herr, wie ich dürste, zu preisen ! Immer herrlicher offenbarest du dich!
Página 128 - O justice , ô bonté suprême ! Que de raisons , quelle douceur extrême D'engager à ce Dieu son amour et sa foi ! UNE VOIX, seule. D'un joug cruel il sauva nos aïeux , Les nourrit au désert d'un pain délicieux ; II nous donne ses lois , il se donne lui-même î Pour tant de biens , il commande qu'on l'aime.
Página 96 - Dieu de mon berceau , sois le Dieu de ma tombe ! Plus la nuit est obscure et plus mes faibles yeux S'attachent au flambeau qui pâlit dans les cieux ; Et quand l'autel brisé que la foule abandonne S'écroulerait sur moi !... temple que je chéris, Temple où j'ai tout reçu, temple où j'ai tout appris, J'embrasserais encor ta dernière colonne, Dussé-je être écrasé sous tes sacrés débris ! HARMONIE SIXIÈME.
Página 40 - Unendlicher! Der Wald neigt sich, der Strom fliehet, und ich Falle nicht auf mein Angesicht? Herr! Herr! Gott! barmherzig und gnädig! Du Naher, erbarme dich meiner! Zürnest du, Herr, Weil Nacht dein Gewand ist ? Diese Nacht ist Segen der Erde. Vater, du zürnest nicht!

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