Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée á un souverain d'AllemagneLongchamps, 1814 - 17 páginas |
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... père des poètes allemands . C'est le premier de nos poètes de profession dont la réputation se soit constam- ment soutenue . L'empereur Ferdinand lui don- na des titres de noblesse . Il était fort estimé de Uladislas , roi de Pologne et ...
... père des poètes allemands . C'est le premier de nos poètes de profession dont la réputation se soit constam- ment soutenue . L'empereur Ferdinand lui don- na des titres de noblesse . Il était fort estimé de Uladislas , roi de Pologne et ...
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... père de notre poésie , et de ses ouvrages qu'on a réim- primés de nos jours en Allemagne et en Suisse , avec tous les ornemens et toutes les superfluités dont on a soin de renchérir les éditions des au- teurs latins et grecs , sans ...
... père de notre poésie , et de ses ouvrages qu'on a réim- primés de nos jours en Allemagne et en Suisse , avec tous les ornemens et toutes les superfluités dont on a soin de renchérir les éditions des au- teurs latins et grecs , sans ...
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... pères , sont devenus inu- tiles à leurs descendans . Luther n'était pas seulement poète , il connaissait aussi les règles des beaux - arts , et il en savait donner lui - même . Ses lettres sur l'art de traduire et d'interpréter , sur ...
... pères , sont devenus inu- tiles à leurs descendans . Luther n'était pas seulement poète , il connaissait aussi les règles des beaux - arts , et il en savait donner lui - même . Ses lettres sur l'art de traduire et d'interpréter , sur ...
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... père de la poésie alle- mande était donc réservé à Opitz . Né avec toutes les parties qui font le poète , il avait beaucoup voyagé , et à force d'acquérir des connaissances il s'était formé le goût ; en sorte qu'il en devint le ...
... père de la poésie alle- mande était donc réservé à Opitz . Né avec toutes les parties qui font le poète , il avait beaucoup voyagé , et à force d'acquérir des connaissances il s'était formé le goût ; en sorte qu'il en devint le ...
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... père , qui savait combien la poésie était contraire à la fortune , le dévoua à la médecine . Gunther se fit mé- decin ; mais au lieu d'aller voir ses malades , il chantait les yeux de Philis . Son père , outré de le voir se livrer à ce ...
... père , qui savait combien la poésie était contraire à la fortune , le dévoua à la médecine . Gunther se fit mé- decin ; mais au lieu d'aller voir ses malades , il chantait les yeux de Philis . Son père , outré de le voir se livrer à ce ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 250 - ... cuisine quelqu'un qui fasse les frais d'un prix pour son éloge funèbre. On aurait pu observer à cet officier que celui qu'il destinait à l'Éloge de d'Alembert était du luxe tout pur ; puisque ce philosophe, devait être loué de toute nécessité deux fois, une fois à l'Académie Française et une autre fois à l'Académie des Sciences. L'artilleur turc a sans doute jugé qu'abondance de biens, en fait d'éloges, ne nuit point. J'ai reçu , Sire , la lettre dont il a plu à Votre Majesté...
Página 342 - ... avide de connaissances , seul , absolument seul , sans compagnon , sans domestique , sans témoin , il a labouré la terre , semé , moissonné , moulu , fait du pain , sans engrais , sans charrue , sans moulin , sans four , en un mot , sans autres ustensiles que ceux qu'une imagination industrieuse , excitée par la nécessité des circonstances et guidée par la raison , lui faisait inventer...
Página 44 - Fel qui, avec le plus heureux organe du monde, avec une voix toujours égale, toujours fraîche, brillante et légère, connaissait encore l'art que nous appelons en langage sacré chanter, terme honteusement profané en France, et appliqué à une façon de pousser avec effort des sons hors de son gosier, et de les fracasser sur les dents par un mouvement de menton convulsif ; c'est ce qu'on appelle chez nous crier, et qu'on n'entend jamais sur nos théâtres, à la vérité, mais tant qu'on veut...
Página 112 - Ta croupissais dans la fange de l'ignorance et de la barbarie; tu tâtonnais dans les ténèbres de la superstition et de la stupidité; tes philosophes manquaient de sens, et tes professeurs étaient des idiots. Dans tes écoles on parlait un jargon barbare, et sur tes théâtres on jouait les Mystères. Et mon cœur s'émut de pitié envers toi, et je me dis à moi-même : Ce peuple est gentil ; j'aime son esprit qui est léger, et ses mœurs qui sont douces, et j'en veux faire mon peuple, parce...
Página 287 - Athène eût adoré la Grèce, Que dans Rome à sa table Auguste eût fait asseoir, Nos Césars d'aujourd'hui n'ont pas voulu le voir, Et monsieur de Beaumont lui refuse une messe. Oui, vous avez raison, monsieur de Saint-Sulpice, Eh!
Página 149 - ... effort subit de fermeté, de peur de rendre à " Arbace ce moment aussi douloureux qu'il l'est pour elle : cet effort ne sera peut-être suivi que de plus de faiblesse; et une plainte , d'abord peu violente, finira par des sanglots et des larmes. En un mot, tout ce que la passion la plus douce et la plus tendre pourra inspirer dans cette position à une...
Página 240 - ... s'étaient aggravées à un point alarmant, par des inquiétudes et par les craintes de son imagination. Se croyant menacé à chaque instant, son tempérament, naturellement frêle, ne put résister longtemps à cet état violent, et le marasme qui s'ensuivit fut autant l'ouvrage de sa pusillanimité que de ses maux. Il ne cachait point à ceux qui l'exhortaient à leur opposer un peu de courage qu'il n'en avait point ; et il leur inspirait d'autant plus de compassion qu'il leur enlevait tous...
Página 67 - En fait de goût la cour donne à la nation des modes et les philosophes des lois. Il ne leur faut que le courage qu'ils n'ont pas toujours , d'affronter les opinions le plus généralement reçues et souvent les plus absurdes , de les attaquer avec toute la force de la raison , et de les exterminer partout où ils les trouvent.
Página 241 - Majesté de m'honorer le 1 1 de ce mois , a été de m'acquitter de l'ordre qu'elle renfermait relativement à la correspondance dont M. d'Alembert a été honoré pendant une grande partie de sa vie.
Página 157 - Cette économie intérieure du spectacle en musique , fondée d'un côté sur la vérité de l'imitation , et de l'autre sur la nature de nos organes, doit servir de poétique élémentaire au poète lyrique. Il faut, à la vérité, qu'il se soumette en tout au musicien; il ne peut prétendre qu'au second rôle : mais il lui reste d'assez beaux moyens pour partager la gloire de son compagnon. Le choix et la disposition du sujet, l'ordonnance et la marche de tout le drame sont l'ouvrage du poète.