Les marronniers du parc et les chênes antiques se berçaient doucement sous leurs rameaux en pleurs. Nous écoutions la nuit: la croisée entr'ouverte laissait venir à nous les parfums du printemps; les vents étaient muets; la plaine était déserte;... Obras de Manuel Gutiérrez Nájera: Prosa - Página 186por Manuel Gutiérrez Nájera - 1903Vista completa - Acerca de este libro
| Alfred de Musset - 1849 - 428 páginas
...oiseaux. Les lièdes voluptés des nuits mélancoliques Sortaient autour de nous du calice des fleurs. Les marronniers du parc et les chênes antiques Se berçaient doucement sous lein - s rameaux en pleurs. Nous écoutions la nuit; la croisée entr'ouverte Laissait venir à nous... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 312 páginas
...oiseaux. Les lièdes voluptés des nuits mélancoliques Sortaient autour de nous du calice des fleurs. Les marronniers du parc et les chênes antiques Se...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. 4. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 páginas
...oiseaux. Les tièdes voluptés des nuits mélancoliques Sortaient autour de nous du calice doS fleurs. Les marronniers du parc et les chênes antiques Se...vents étaient muets; la plaine était déserte; Nous élions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. 4. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et... | |
| Alfred de Musset - 1857 - 300 páginas
...nuits mélancoliques Sortaient autour de nous du calice des fleurs. Les marronniers du parc et lc> chênes antiques Se berçaient doucement sous leurs...était déserte; Nous étions seuls, pensifs, et nous avion; quinze ans. Je regardais Lucie. — Etle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 páginas
...oiseaux. Les tièdes voluptés des nuits mélancoliques Sortaient autour de nous du calice des fleurs. Les marronniers du parc et les chênes antiques Se...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans, Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus... | |
| Alfred de Musset - 1860 - 300 páginas
...oiseaux. Les tièdes voluptés des nuits mélancoliques Sortaient autour de nous du calice des fleurs. Les marronniers du parc et les chênes antiques Se berçaient doucement sous leurs rameaux en pleuis. Nous écoutions la nuit; la croisée entr'ouveite Laissait venir à nous les parfums du printemps... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 páginas
...oiseaux. Les lièdes voluptés des nuits mélancoliques Sortaient autour de nous du calice des fleurs. Se berçaient doucement sous leurs rameaux en pleurs. Nous écoutions la nuit ; la croisée enlr'ouverlc Laissait venir à nous les parfums du printemps; Les vents étaient muets, la plaine était... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 páginas
...la croisée enlr'ouverle Laissait venir à nous les parfums du printemps; Les vents étaient niuels, la plaine était déserte; Nous étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. -le regardais Lucie. — Elle élail pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'onl du ciel le plus... | |
| Alfred de Musset - 1867 - 316 páginas
...oiseaux. Les tièdes voluptés des nuits mélancoliques Sortaient autour de nous du calice des fleurs. Les marronniers du parc et les chênes antiques Se...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Sa... | |
| Alfred de Musset - 1867 - 710 páginas
...Sortaient autour de nous du calice des fleurs. Les marronniers du parc et les chênes antiques Se bercaient doucement sous leurs rameaux en pleurs. Nous écoutions...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus... | |
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