Lorraine et France, études sur les doctrines religieuses et la politique de ces deux pays depuis la Renaissance, Volumen37 |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Allemagne allemand Anglais armée attaque autrichienne avaient bataille Bude calvinistes cardinal Catherine catholicisme catholiques Charles chef chrétienne clergé conquêtes conserver courage couronne czar défense demeura devant Dieu doctrines duc de Lorraine ennemis Etats eût Foi et Lumières force François de Guise Frédéric gallicans général germanique gouvernement guerre Henri Henri IV Hongrie Hongrois impériale institutions janissaires Joseph l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'autorité l'Autriche l'Eglise l'Empereur l'empire l'esprit l'Etat l'Europe l'Occident laissé liberté Ligue ligueurs Louis XIV lutte Magyars maison de Lorraine Marie-Thérèse Mayenne ment mille hommes ministres monarchie morale moscovite Nancy Napoléon nation noblesse non-seulement ottomane paix panslavisme Pape pays pendant Perse peuple politique Pologne presque prince lorrain principautés protectorat protestantisme protestants provinces Prusse prussien puissance rationaliste Réforme règne religieux religion révolution révolutionnaire Rhin Richelieu royaume Russie Rustauds s'emparer s'est s'était Saint serait seul Slaves sociale société souverain Suède système terrible tion trône troupes Turcs Turquie victoire Wallstein XVIIe siècle
Pasajes populares
Página 79 - Il a cherché les talents jusque dans les boutiques et dans les forêts , pour les mettre au jour et les encourager. Enfin, pendant tout son règne, il ne s'est occupé que du soin de procurer à sa nation de la tranquillité, des richesses, des connaissances, et des plaisirs. « Je quitterais demain ma souveraineté , « disait-il , si je ne pouvais faire du bien.
Página 46 - Je suis bien aise de faire savoir à Votre Sainteté que j'ai donné les ordres nécessaires pour que les choses contenues dans mon édit du...
Página 78 - Lorraine désolée et déserte; il la repeupla, il l'enrichit; il l'a conservée toujours en paix, pendant que le reste de l'Europe a été ravagé par la guerre. Il a eu la prudence d'être toujours bien avec la France, et d'être aimé dans l'empire, tenant...
Página 46 - Sur toute chose , ne forcez jamais vos sujets à changer de religion. Nulle puissance humaine ne peut forcer le retranchement impénétrable de la liberté du cœur. La force ne peut jamais persuader les hommes ; elle ne fait que des hypocrites.
Página 53 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Página 11 - ... toits. Ceux qui s'absentaient pour éviter ces violences étaient dépouillés de leurs biens. Les registres des hôtels de ville de Nîmes, de Montauban, d'Alais, de Montpellier et des autres villes du parti, sont pleins de telles ordonnances, et je n'en parlerais pas sans les plaintes dont nos fugitifs remplissent toute l'Europe. Voilà ceux qui nous vantent leur...
Página 139 - Asie, égalent en dimension les petits états de l'Allemagne, les provinces rhénanes de la Prusse, la Belgique et la Hollande réunies ; les pays arrachés à la Perse approchent de l'étendue de l'Angleterre; ceux acquis en Tartarie renfermeraient la Turquie d'Europe, la Grèce, l'Italie et l'Espagne; enfin tout ce qu'elle...
Página 78 - ... avec cet art de donner, qui est encore au-dessus des bienfaits : il mettait dans ses dons la magnificence d'un prince et la politesse d'un ami. Les arts, en honneur dans sa petite province, produisaient une circulation nouvelle qui fait la richesse des États.
Página 51 - ... la guerre, comme la source des plus grands maux. Ne faites donc jamais la guerre que pour vous défendre ou pour défendre vos alliés. Je vous avoue que de ce côté-là je ne vous ai point donné de bons exemples. Ne m'imitez pas : c'est la partie de ma vie et de mon gouvernement dont je me repens davantage.
Página 18 - Elles avaient des lieux et des jours d'assemblée fixés, une police, des repas, des exercices, et des deniers communs. Il ne fut question que d'ajouter à cela un serment d'employer ses biens et sa vie pour la défense de la foi attaquée. Avec cette formule, les confréries devinrent comme d'elles-mêmes dans chaque ville, des corps de troupes prêts à agir au gré des chefs, et leurs bannières des étendards militaires.