Choix de rapports, opinions et discours prononcés à la tribune nationale depuis 1789 jusqu'à ce jour: recueillis dans un ordre chronologique et historique, Volumen23Guillaume N. Lallement A. Eymery, 1825 |
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... La parole était ensuite accordée à un orateur de chaque ordre , qui exposait très respec- tueusement les vœux et doléances de ses commettans , et finissait d'ordinaire par combiner sa réponse avec les volontés du xiij ...
... La parole était ensuite accordée à un orateur de chaque ordre , qui exposait très respec- tueusement les vœux et doléances de ses commettans , et finissait d'ordinaire par combiner sa réponse avec les volontés du xiij ...
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... réponse avec les volontés du monarque . Les requêtes du peuple se présen- * taient à genoux ; elles contenaient presque toujours des plaintes assez vives , mais auxquelles on se croyait dis- pensé de faire droit ; il paraissait suffire ...
... réponse avec les volontés du monarque . Les requêtes du peuple se présen- * taient à genoux ; elles contenaient presque toujours des plaintes assez vives , mais auxquelles on se croyait dis- pensé de faire droit ; il paraissait suffire ...
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... réponses un ton de légèreté qui en atténuait l'intention ou le danger . D'ailleurs une objection générale , que peuvent encore at- tester plusieurs membres de l'Assemblée constituante , ter- minait la ( 5 * ) SUPPLÉMENT AU PREMIER ...
... réponses un ton de légèreté qui en atténuait l'intention ou le danger . D'ailleurs une objection générale , que peuvent encore at- tester plusieurs membres de l'Assemblée constituante , ter- minait la ( 5 * ) SUPPLÉMENT AU PREMIER ...
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... réponse qu'on lui repro- chaavec amertume ; elle dità la députation : « J'ai été enchantée de la journée de jeudi . » Elle parlait du 1er octobre . Aussi , lorsque l'orgie des gardes royales fut dénoncée à l'Assemblée , donna - t - on ...
... réponse qu'on lui repro- chaavec amertume ; elle dità la députation : « J'ai été enchantée de la journée de jeudi . » Elle parlait du 1er octobre . Aussi , lorsque l'orgie des gardes royales fut dénoncée à l'Assemblée , donna - t - on ...
Página 25
... réponse est assurément sans finesse ; et voilà , dit ensuite le sieur Peltier , un complot anti - royaliste ; c'est un conjuré qui s'est trahi . » Si vous ne connaissiez mon estimable collègue , je vous dirais ce qu'il est , et au moins ...
... réponse est assurément sans finesse ; et voilà , dit ensuite le sieur Peltier , un complot anti - royaliste ; c'est un conjuré qui s'est trahi . » Si vous ne connaissiez mon estimable collègue , je vous dirais ce qu'il est , et au moins ...
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Términos y frases comunes
18 fructidor 20 juin 9 thermidor accusé adopter adresse armées assemblées Barrère Bonaparte citoyens civile comité de salut commission des douze Conseil des cinq-cents conspiration constitution de 1791 constitution de l'an convention nationale corps législatif d'Orléans Déclare Louis cou Déclare Louis coupable décrété d'accusation demande Dénonce départemens département déposition députés directoire discussion dix août Elu président événemens famille royale garde nationale général gouvernement guerre ibid juillet l'acte constitutionnel l'appel au peuple l'armée l'Assemblée constituante l'Assemblée législative l'assemblée nationale l'empereur Lafayette liberté Louis xvi mesures ministre Mirabeau mort avec sursis mort sans sursis motion nation nommé octobre Opinion pable pel au peuple pétition présente prince proclamation projet de loi propose proposition publique rapport rejette l'ap rejette l'appel relative représentans république Robespierre royaume salut public séance sénat sénatus-consulte serment session sieur suiv Thouret tion tribun tribunat Versailles VIII vote l'appel vote la détention vote la mort XVII
Pasajes populares
Página 104 - ... plusieurs sortes d'influences, a fini par prendre la forme d'une protestation insidieuse, et contre vos décrets, et contre la liberté de l'acceptation du Roi, et contre son voyage à Paris, et contre la sagesse...
Página 95 - CE n'est pas pour me défendre que je monte à cette tribune. Objet d'inculpations ridicules, dont aucune n'est prouvée, et qui n'établiraient rien contre moi lorsque chacune d'elles le serait, je ne me regarde point comme accusé ; car si je croyais qu'un seul homme de sens (j'excepte le petit nombre d'ennemis dont je tiens à honneur les outrages) pût me croire accusable, je ne me défendrais pas dans cette Assemblée. Je voudrais être jugé ; et votre juridiction se bornant à décider si...
Página 96 - ... eux-mêmes et par eux-mêmes; je renonce, aujourd'hui du moins, à examiner les contradictions de la procédure et ses variantes , ses épisodes et ses obscurités, ses superfluités et ses réticences; les craintes qu'elle a données aux amis de la liberté , et les espérances qu'elle a prodiguées à ses ennemis ; son but secret et sa marche apparente, ses succès d'un moment et ses succès dans l'avenir; les frayeurs qu'on a voulu inspirer au trône, peut-être la reconnaissance que l'on...
Página 98 - Eh! qui vous dit que nous ne voulons pas un roi ? Mais qu'importe que ce soit Louis XVI ou Louis XVII? » Ici j'observerai que le rapporteur dont on vous a dénoncé la partialité pour les accusés est cependant loin, je ne dis pas de m'être favorable, mais d'être exact, mais d'être juste. C'est uniquement parce que M. Mounier ne confirme pas ce propos par la déposition, que M.
Página 87 - Si j'avais appartenu à une faction antipatriotique, si j'avais été appelé à concerter l'enlèvement du roi et la guerre civile, j'aurais pu désirer le soulèvement de la capitale , j'aurais pu susciter des inquiétudes sur les subsistances ; j'aurais...
Página 44 - Le comité des subsistances malverse ou est incapable d'administrer son département; dans les deux cas, il faut le changer. Le peuple est malheureux : la source du mal est à Versailles. Il faut aller chercher le roi et l'amener à Paris; il faut exterminer le régiment de Flandre et les gardes du corps qui ont osé fouler aux pieds la cocarde nationale.
Página 98 - Eh bien , messieurs , avec toute la mesure que me commande mon estime pour M. Chabroud et pour son rapport, je soutiens qu'il a mal raisonné. Ce propos, que je déclare ne pas me rappeler, est tel que tout citoyen pourrait s'en honorer; et nonseulement il est justifiable à l'époque où on le place, mais il est bon en soi, mais il est louable; et si M. le rapporteur l'eût analysé avec sa sagacité ordinaire, il n'aurait pas eu besoin, pour faire disparaître le prétendu délit, de se convaincre...
Página 101 - M. le rapporteur, pour avoir le droit de taxer d'indiscret, aurait dû faire connaître. Qu'on le trouve, si l'on veut, insolent, mais qu'on avoue du moins, puisqu'il ne suppose même aucune relation, qu'il exclut toute idée de complicité. Je le tins sur celui dont la conduite jusqu'alors m'avait paru exempte de reproches, mais dont le départ était à mes yeux plus qu'une faute. Voilà ce fait éclairci; etM.de La Fayette peut en certifier tous les détails, qui lui sont tous parfaitement connus.
Página 101 - Biron me répondit par des sentiments chevaleresques, et je m'y étais attendu. M. d'Orléans, instruit de ma résolution, promet de suivre mes conseils; mais, dès le lendemain, je reçois dans l'Assemblée un billet de M.
Página 96 - Le temps le saura mais ce secret hideux ne peut être révélé aujourd'hui sans produire de grands troubles. Ceux qui ont suscité la procédure du Châtelet, ont fait cette horrible combinaison que si le succès leur échappait ils trouveraient, dans le patriotisme même de celui qu'ils voulaient immoler, le garant de leur impunité. Ils ont senti que l'esprit public de l'offensé tournerait à sa ruine ou sauverait l'offenseur.