| Fustel de Coulanges - 1870 - 80 páginas
...est-il moins vrai que c'est à Strasbourg que l'on a chanté pour la première fois notre Marseillaise ? Ce qui distingue les nations, ce n'est ni la race,...souvenirs et d'espérances. Voilà ce qui fait la patrie. Voilà pourquoi les hommes veulent marcher ensemble, ensemble travailler, ensemble combattre, vivre... | |
| Auguste Dide - 1916 - 592 páginas
...est-il moins vrai que c'est à Strasbourg que l'on a chanté pour la première fois notre Marseillaise ? Ce qui distingue les nations, ce n'est ni la race, ni la langue. Les hommes sententdans leur cœur qu'ils sont un môme peuple, lorsqu'ils ont une communauté d'idées, d'intérêts,... | |
| Fustel de Coulanges - 1893 - 560 páginas
...est-il moins vrai que c'est à Strasbourg que l'on a chanté pour la première fois notre Marseillaisel Ce qui distingue les nations, ce n'est ni la race,...souvenirs et d'espérances. Voilà ce qui fait la patrie1. Voilà pourquoi les hommes veulent marcher ensemble, ensemble travailler, ensemble combattre,... | |
| 1920 - 862 páginas
...à ne point obéir malgré elle à un maître étranger... » Puis, généralisant, il ajoutait : « Ce qui distingue les nations, ce n'est ni la race,...souvenirs et d'espérances. Voilà ce qui fait la patrie. Voilà pourquoi les hommes veulent marcher ensemble, ensemble travailler, ensemble combattre, vivre... | |
| Fustel de Coulanges - 1916 - 136 páginas
...estil moins vrai que c'est à Strasbourg que l'on a chanté pour la première fois notre Marseillaise^ Ce qui distingue les nations, ce n'est ni la race,...souvenirs et d'espérances. Voilà ce qui fait la patrie. Voilà pourquoi les hommes veulent marcher ensemble, ensemble travailler, ensemble combattre, vivre... | |
| Julien Benda - 1917 - 326 páginas
...les refuser. L'annexion pour raisons stratégiques est aussi répudiée formellement par Proudhou . ni la langue. Les hommes sentent dans leur cœur qu'ils...d'intérêts, d'affections, de souvenirs et d'espérances (1). Voilà ce qui fait la patrie. Voilà pourquoi les hommes veulent marcher ensemble, ensemble travailler,... | |
| Lujo Vojnović - 1917 - 448 páginas
...ambitieux. Le principe de nationalité n'est pas,/ sous un nom nouveau, le vieux droit du plus fort... « Ce qui distingue les nations, ce n'est ni la race,...sentent dans leur cœur qu'ils sont un même peuple, lors- i qu'ils ont une communauté d'idées, d'intérêts, \ d'affections, de souvenirs et d'espérances.... | |
| Louis Le Fur - 1922 - 172 páginas
...est un plébiscite de tous les jours ». C'est dans le même sens que Fustel de Coulanges disait : « Les hommes sentent dans leur cœur qu'ils sont un...même peuple lorsqu'ils ont une communauté d'idées et de souvenirs (2). » Donc, avec le temps, avec l'unité de territoire et de gouvernement — triple... | |
| Georges Davy - 1924 - 324 páginas
...fonder la nation, à quel principe faut-il faire appel? « Les hommes, répond Fustel de Coulanges, sentent dans leur cœur qu'ils sont un même peuple...souvenirs et d'espérances. Voilà ce qui fait la patrie. Voilà pourquoi les hommes veulent marcher ensemble, ensemble travailler, ensemble combattre, vivre... | |
| Barbara Hayley, Christopher Murray - 1992 - 256 páginas
...Coulanges: 'Ce qui distingue les nations n'est ni la race ni la langue. Les hommes sentent dans leur coeur qu'ils sont un même peuple lorsqu'ils ont une communauté...d'intérêts, d'affections, de souvenirs et d'espérances', quoted by Raoul Girardet, Le Nationalisme Francais (Paris: le Seuil, 1983), p. 64. 35 Alain Finkielkraut,... | |
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