Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée a un souverain d' Allemagne, depuis 1735 jusqu'en 1769, Parte1,Volumen1Longchamps, 1814 - 17 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 93
Página 3
... autre sens , la France a encore des raisons particu- lières de se glorifier du progrès de la poésie et des belles - lettres en Allemagne . Ce sont les grands hommes qu'elle a produits , qui nous ont appris , sinon l'art de penser , l ...
... autre sens , la France a encore des raisons particu- lières de se glorifier du progrès de la poésie et des belles - lettres en Allemagne . Ce sont les grands hommes qu'elle a produits , qui nous ont appris , sinon l'art de penser , l ...
Página 7
... autre l'osera tenter ? Quoi qu'il en soit , nos beaux - esprits n'en sont que plus estimables d'avoir , sans protection et malgré tant d'obstacles , réussi dans plusieurs parties ' des belles - lettres . Et voilà ce que vous voulez que ...
... autre l'osera tenter ? Quoi qu'il en soit , nos beaux - esprits n'en sont que plus estimables d'avoir , sans protection et malgré tant d'obstacles , réussi dans plusieurs parties ' des belles - lettres . Et voilà ce que vous voulez que ...
Página 8
... autre . Comme ils en ont été les inventeurs , ils s'en sont aussi prévalus les premiers , et nous avons dès ce temps - là beaucoup de livres imprimés , sur - tout des traductions des anciens auteurs , etc. Le siècle de Luther fera une ...
... autre . Comme ils en ont été les inventeurs , ils s'en sont aussi prévalus les premiers , et nous avons dès ce temps - là beaucoup de livres imprimés , sur - tout des traductions des anciens auteurs , etc. Le siècle de Luther fera une ...
Página 13
... et je réserverai pour ( 1 ) M. Gottsched travaille actuellement à l'histoire de la langue , de la poésie et de l'éloquence des Alle- mands . une autre lettre ce que j'aurai à dire sur notre SUR LA LITTÉRATURE ALLEMANDE . 13.
... et je réserverai pour ( 1 ) M. Gottsched travaille actuellement à l'histoire de la langue , de la poésie et de l'éloquence des Alle- mands . une autre lettre ce que j'aurai à dire sur notre SUR LA LITTÉRATURE ALLEMANDE . 13.
Página 14
Friedrich Melchior Freiherr von Grimm, Denis Diderot. une autre lettre ce que j'aurai à dire sur notre théâtre . Depuis ma première lettre , Monsieur , j'ai eu bien des reproches à essuyer , et j'ai éprouvé l'universalité de cette maxime ...
Friedrich Melchior Freiherr von Grimm, Denis Diderot. une autre lettre ce que j'aurai à dire sur notre théâtre . Depuis ma première lettre , Monsieur , j'ai eu bien des reproches à essuyer , et j'ai éprouvé l'universalité de cette maxime ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
allemande assez attribue auteur ballet baron beau bonté brochure Caveirac célèbre chant Chaufepié cœur comédie compositeur comte Correspondance couplet d'Alembert d'Omphale danse déclamation Diderot dire discours doit donner drame édition éloge enfans Frédéric génie genre gloire Gottsched goût Grimm homme imprimé Indes Galantes intitulé italienne j'ai jamais Journal des Savans juger l'abbé l'académie l'art l'auteur l'esprit l'Europe l'Histoire l'Impératrice l'opéra l'ouvrage langue lettres littéraire littérature Louis de Sacy Louis XV madame mademoiselle Majesté marquis de Condorcet Mémoires menuets mérite morceau mort musicien musique Naigeon nation nature nommé Note de l'Editeur Omphale ouvrage parler passion patrie peuple philosophes Poëme lyrique poésie poète premier prince profond respect Prusse publié qu'un récitatif Robert Dodsley Rousseau Russie scène sentiment serait seul siècle Sire sort spectacle style suiv sujet sur-tout t'ai talent teur théâtre tion traduction tragédie trouve Tschoudy vérité voix Voltaire volume vrage ככ ככ ככ כל
Pasajes populares
Página 37 - C'est ainsi que depuis environ trente ans, l'Allemagne est devenue une volière de petits oiseaux qui n'attendent que la saison pour chanter. Peut-être ce temps glorieux pour les muses de ma patrie n'est-il pas éloigné.
Página 151 - Mandane fera peut-être succéder un effort subit de fermeté, de peur de rendre à Arbace ce moment aussi douloureux qu'il l'est pour elle : cet effort ne sera peut-être suivi que de plus de faiblesse; et une plainte, d'abord peu violente, finira par des sanglots et des larro.es.
Página 112 - Ta croupissais dans la fange de l'ignorance et de la barbarie; tu tâtonnais dans les ténèbres de la superstition et de la stupidité; tes philosophes manquaient de sens, et tes professeurs étaient des idiots. Dans tes écoles on parlait un jargon barbare, et sur tes théâtres on jouait les Mystères. Et mon cœur s'émut de pitié envers toi, et je me dis à moi-même : Ce peuple est gentil ; j'aime son esprit qui est léger, et ses mœurs qui sont douces, et j'en veux faire mon peuple, parce...
Página 159 - ... lyrique. Il faut, à la vérité, qu'il se soumette en tout au musicien; il ne peut prétendre qu'au second rôle : mais il lui reste d'assez beaux moyens pour partager la gloire de son compagnon. Le choix et la disposition du sujet, l'ordonnance et la marche de tout le drame sont l'ouvrage du poète. Le sujet doit être rempli d'intérêt, et disposé de la manière la plus simple et la plus intéressante : tout y doit être en action, et viser aux grands effets. Jamais le poète ne doit craindre...
Página 267 - Enfin.. on l'a regardé comme le premier des hommes dans l'art nouveau de répandre de la lumière et des grâces sur les sciences abstraites, et il a eu du mérite dans tous les autres genres qu'il a traités. Tant de talents ont été soutenus par la connaissance des langues et de l'histoire ; et il a été, sans contredit, au-dessus de tous les savants qui n'ont pas eu le don de l'invention.
Página 99 - Oh que les talens sont déplacés dans ce monde , et comme pourtant le génie se montre , encore qu'il soit mal à sa place ! Et je disais : Si cet homme-là était né dans la maison de mon père qui est à un quart de lieue de la forêt de Boehmischbroda en Bohême, il .gagnerait jusqu'à trente deniers par jour , et sa famille serait riche et honorée , et ses enfans vivraient...
Página 98 - ... fusse aperçu, et ils jouaient quelque chose qu'ils appelaient une ouverture. Et je vis un homme qui tenait un bâton, et je crus qu'il allait châtier les mauvais violons, car j'en entendis beaucoup parmi les autres qui étaient bons, et qui n'étaient pas beaucoup. Et il faisait un bruit comme s'il fendait du bois, et j'étais étonné de ce qu'il ne se démettait pas l'épaule, et la vigueur de son bras m'épouvanta. Et je...
Página 101 - Ah la trompeuse ! car elle avait de l'art, et son adresse me jetait dans l'illusion. Et je me disais à moi-même ( car j'aime à me parler à moi-même, quand j'en ai le temps ) : Sans doute que ce berger et cette bergère ont des ennemis qui les forcent de chanter dans les boutiques de marionnettes pour leur gâter la voix, et pour qu'ils aient la poitrine malade.
Página 242 - ... un point alarmant, par des inquiétudes et par les craintes de son imagination. Se croyant menacé à chaque instant, son tempérament, naturellement frêle, ne put résister longtemps à cet état violent, et le marasme qui s'ensuivit fut autant l'ouvrage de sa pusillanimité que de ses maux. Il ne cachait point à ceux qui l'exhortaient à leur opposer un peu de courage qu'il n'en avait point ; et il leur inspirait d'autant plus de compassion qu'il leur enlevait tous les moyens de le consoler,...
Página 289 - Athène eût adoré la Grèce, Que dans Rome à sa table Auguste eût fait asseoir, Nos Césars d'aujourd'hui n'ont pas voulu le voir, Et monsieur de Beaumont lui refuse une messe. Oui, vous avez raison, monsieur de Saint-Sulpice, Eh!