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CH. VII. De l'ame, & de la manière dont
elle eft unie au corps, & dont
elle a fes idées. Quatre opinions

fur la formation des idées. Celles

des anciens matérialistes. Celle de

Mallebranche. Celle de Leibnitz

combattue.

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Сн.

59.

CH. IX. De la nature des élémens de la
matière, ou des monades. Senti-
ment de Newton. Sentiment de
Leibnitz.
X. De la force active, qui met tout

en mouvement dans l'univers. S'il

y a toujours même quantité de forces

dans le monde. Examen de la force.

Maniere de calculer la force. Con-

clufion des deux partis.

SECONDE PARTIE.

Си. I. Premières recherches fur la lumiè
re, & comment elle vient à nous.
Erreurs de Defcartes à ce sujet.
Définition fingulière par les péripaté-
ticiens. L'efprit fystématique a égaré
Defcartes. Son fyftême. Faux. Du
mouvement progreffif de la lumière.

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CH.

I

Erreur du Spectacle de la Nature.
Démonftration du mouvement de la
lumière, par Rômer. Expérience de
Rômer contestée & combattue mal-à-
propos. Preuves de la découverte de
Rômer par les découvertes de Brad-
ley. Hiftoire de ces découvertes. Ex-
plication & conclufion.
66.
II. Systême de Mallebranche auffi er-

roné que celui de Defcartes. Na-
ture de la lumière; fes routes ;
fa rapidité. Erreur du pere Malle-
branche. Définition de la matière
de la lumière. Feu & lumière font
le même être. Rapidité de la lumière.
Petitele de fes atômes. Progression
de la lumière. Preuve de l'impofi-
bilité du plein. Obftination contre
ces vérités. Abus de la fainte Ecri-
ture contre ces vérités.

75.

CH. III. La propriété que la lumière a de
fe réfléchir, n'était pas véritable-
ment connue; elle n'eft point ré-
fléchie par les parties folides des
corps comme on le croyait. Aucun
corps uni. Lumière non réfléchie par
les parties folides. Expériences dé-
cifives. Comment & en quel fens la
lumière rejaillit du. vuide même.
Comment on en fait l'expérience.
Conclufion de cette expérience. Plus
les pores font petits, plus la lumière
paffe, Mauvaifes objections contre,
ces vérités.
81.

252

CH. IV. Des miroirs, des télescopes: des rai-
fons que les mathématiques donnent
des mystères de la vifion; que ces
raifons ne font point fuffifantes.
Miroir plan. Miroir convexe. Miroir
concave, Explications géométriques
siliamadad entre les regles d'optique & nos fen-
de la vifion. Nul rapport immédiat
fations

1

105.

CH. VII. De la caufe qui fait brifer les rayons
de la lumière en paffant d'une
fubftance dans une autre : que
cette caufe eft une loi générale
de la nature, inconnue avant New-
ton; que l'inflexion de la lumiere
eft encor un effet de cette cause
&c. Ce que c'est que réfraction. Pro-
portion des réfractions trouvée par
Snellius. Ce que c'est que finus de
réfraction. Grande découverte de
Newton. Lumière brifée avant que
d'entrer dans les corps. Examen de
l'attraction. Il faut examiner l'at-
traction; avant que de fe révolter
contre ce mot. Impulfion & attrac-
tion également certaines & inconnues.
En quoi l'attraction est une qualité
occulte. Preuves de l'attraction. In-
flexion de la lumière auprès des corps
qui l'attirent.

III.

Phil. Littér. Hist. Tom. I,

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foi toutes les couleurs poffibles.

Ce que c'eft que la réfrangibilité.

Découvertes nouvelles. Imagina

tion de Defcartes fur les couleurs.

Erreur de Mallebranche. Expé-

rience & démonstration de Newton.

Anatomie de la lumière. Couleurs

dans les rayons primitifs. Vaines

objections contre ces découvertes.

Critiques encor plus vaines. Expé-

rience importante.

CH. IX. De l'arc-en-ciel; que ce météore

eft une fuite néceffaire des loix de

la réfrangibilité. Méchanifme de

l'arc-en-ciel inconnu à toute l'anti-

quité. Ignorance d'Albert le grand.

L'archevéque Antonio de Dominis

eft le premier qui ait expliqué l'arc-

en-ciel. Son expérience. Imitée par

Defcartes. La réfrangibilité, unique

raifon de l'arc-en-ciel. Explication

de ce phénomène. Les deux arcs-en-

ciel. Ce phénomene vu toujours en

demi - cercle.
128.

X. Nouvelles découvertes fur la caufe
des couleurs, qui confirment la
doctrine précédente. Démonftra-
tion, que les couleurs font occa-
fionnées par l'épaiffeur des parties
qui compofent les corps, fans que
la lumière foit réfléchie de ces par-
ties. Connaillance plus approfondie
de la formation des couleurs. Gran-
des vérités tirées d'une expérience
commune. Expérience de Newton.
Les couleurs dépendent de l'épaisseur
des parties des corps, fans que ces
parties réfléchiffeni elles-mêmes la
lumière. Tous les corps font tranf
parens. Preuve que les couleurs dé-
pendent des épaiffeurs, fans que les
parties folides renvoyent en effet la

Сн.

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CH. I. Premières idées touchant la pefan-
teur & les loix de l'attraction.
Que la matière fubtile, les tour-
billons & le plein doivent être
rejettés. Attraction. Expérience qui
démontre le vuide & les effets de la
gravitation. La pefanteur agit en
raifon des males. D'où vient ce
pouvoir de pefanteur. Il ne peut ve-
nir d'une prétendue matière fubtile.
Pourquoi un corps pefe plus qu'un
autre. Le fyftême de Defcartes ne

peut en rendre raifon.
148.

CH. II. Que les tourbillons de Descartes &

Te plein font impoffibles, & que

par conféquent il y a une autre

caule de la pefanteur. Preuve de

l'impoffibilité des tourbillons. Preu-

ves contre le plein.

CH. III. Gravitation démontrée par la dé-
couverte de Newton. Hiftoire de
cette découverte. Que la lune par-
court fon orbite par la force de
cette gravitation. Hiftoire de la
découverte de la gravitation. Pro-
cédé de Newton. Théorie tirée de
ces découvertes. La même caufe qui

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