...de son débiteur, il se montrait 1. F'énelon disait, dans sa lettre à Louis XIV, en 1®94 : « ... La noblesse dont tout le bien est en décret, ne vit que de Lettres d'Etat... » au contraire intraitable, menaçait de saisie, l'exécutait parfois, mais avec quelle...

...la porte de son débiteur, il se montrait 1. Fénelon disait, dans sa lettre à Louis XIV, en « ... La noblesse dont tout le bien est en décret, ne vit que de Lettres d'Etat... » ~ s u; j u .H a 3 H S o a u au contraire intraitable, menaçait de saisie, l'exécutait...

...temps de Fénelon : »c \'o> peuples, ditil lui-même dans sa Lettre à Louis .Y/F, meurent de l'aim... La France entière n'est plus qu'un grand hôpital...tout le bien est en décret ne vit que de lettres d'Etat. Vous etos importune de la foule des gens qui demandent et qui murmurent.... Les émotions populaires,...

...; tous les métiers languissent, et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti... la France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision... ». La Bruyère Charles Le Brun (1619-1690) et Pierre Mignard (1612-1695), premiers peintres du roi,...

...devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim... La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision ", ce qui cause naturellement "les émotions populaires. " i Dans L'examen de conscience comme dans...

...ou par ceux du commerce et de l'industrie », ibuL, t. XVII, 1708, p. 235. Comme le dit Fénelon, « La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision », Lettre à Louis XIV, op. cit., p. 66. 2. N. de Gueudeville, ECE, op. cit., t. XII, 1705, pp. 405-407....

...de misère. La famine au temps du Grand Roi, Paris, Fayard, 1992. vre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière n'est...plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision ... »' II convient de lire ce mémoire en gardant toujours à l'esprit ce triple contexte : personnel...

...l'aumône et le nourrir. La Frnnoe'en« tit;re n'est plus qu'un vaste hôpital sans » provisions ; les magistrats sont avilis et » épuisés; la noblesse dont tout le bien » est en décret ne vit que des lettres » d'état : vous êtes importuné de la foule ji des gens qui demandent et qui mur35 murent....

...peuple meurt de faim : la culture des terres est presque abandonnée; tout commerce est anéanti. « La France entière n'est plus qu'un « grand hôpital désolé et sans provision-; le peuple, qui vous a. t tant aimé , commence à perdre l'amitié , la confiance et môme « le respect....

...les » campagnes se dépeuplent; tous les métiers languissent; » tout le commerce est anéanti : la France entière n'est plus » qu'un grand hôpital désolé et sans provision (1). » Ce saisissant tableau des souffrances du pays n'était que trop véridique; tontes les chroniques...